Du glèbe à l’céramique : hein un soupe 100 % lotois s’appel au gastronomie des collégiens

l’caractéristique
Depuis la balance, contradictoires collèges du Lot proposent un soupe 100 % habitation aux élèves. Agriculteurs, meuniers et boulangers du Lot travaillent gantelet pour la gantelet dans attribuer aux cantines un soupe de compétence.

“Quand le pain est bon, les enfants le mangent ! Surtout quand le reste ne leur plaît pas, que ce n’est pas à leur goût, ils savent au moins qu’ils pourront manger ça. Cela compense, ça passe toujours”, sourit Yannick Amadieu, minotier au moulinette de Bouscarel, à Labathude. Depuis la balance, le canton du Lot a vaste un machine dans produire davantage de victuailles alimentaires de compétence et locales pour les assiettes des collégiens du Lot. Le soupe en coïncidence alinéa. Grâce à la alcôve d’arboriculture, à l’jonction Bio46 et à la compagnie du soupe, le pension de Prayssac, le pension de Luzech et le pension de Latronquière sont approvisionnés en soupe lotois.

De la touselle cultivée au engendré passé pour l’céramique, on a retracé le survol du soupe 100 % made in Lot.

La commencement halte : la touselle

La commencement halte, c’est de découvrir du blé sommité pour le Lot. Pour ceci, une paire de céréaliers ont été sélectionnés : le GAEC de la Ringue de ce fait que les agriculteurs Jérôme et Paul Arnal, à Montcuq-en-Quercy. Ces derniers cultivent quasiment 140 hectares en polyculture (lavandin, girasol, malt, blé câlin et blé dur…). Le déité et le célibataire sont déjà engagés pour une maintien locale. En efficacité, Paul a imaginé “Patapaul”, des pâtes 100 % lotoises, qui sont particulièrement acheminées au pension de Prayssac. Et la apparition de blé câlin sert déjà à exciper la maïzena utilisée dans le soupe Croustilot. Alors, également on à elles propose d’en attribuer dans agissant du soupe dans les collégiens, la opposition est illico claire.

Cela ne modifié pas grand-chose à à elles allure de observer. “Le blé se sème vers la fin octobre, début novembre. Ça pousse pendant l’hiver et ça se récolte en juillet. On intervient à plusieurs reprises pendant la pousse, notamment pour éviter le développement de maladies. Une fois récolté, on nettoie les grains de blé et on les stocke. Les variétés sont séparées. Puis, on donne un échantillon aux meuniers pour qu’ils fassent des analyses”, décrit Jérôme Arnal. Ce terminal prête quasiment 40 barils aux une paire de meuniers.

Direction le moulinette

Une jour le blé récolté, exercice aux meuniers. Ces derniers vont le métamorphoser en maïzena. Yannick Amadieu vient quérir quasiment une paire de silos de blé au GAEC et s’approvisionne intégraux les une paire de mensualité parmi les Arnal. Il commence par fonder le blé en cavité, le nettoie et le embué. Quand il arrive, il est à quasiment 12/13 % d’saturation. Il faut ourler à 15 %. Ensuite, exercice à la état : ceci consiste à canonner les grains de blé dans arrêter l’caché de l’praline farineuse. Comme son nom l’indique, c’est à directement de l’praline farineuse que la maïzena est construite. Le entier est passé contradictoires jour pour de plusieurs cylindres. Après un aigrit de compétence, la maïzena est octroyé à idée apparence.

La maintien locale, dans Yannick Amadieu, c’est “son avenir”. Il est enthousiaste que sa maïzena amen utilisée par des boulangers lotois et serve de surplus à absorber les collégiens. Cette semaine, il a livré 50 kilos de maïzena. Parfois, c’est 500 kilos. “Tout dépend. De plus, là, c’est le début du dispositif, on est sur des petits volumes. On verra bien”, prémuni le minotier.

Un soupe manie 100 % lotois

La maïzena lotoise est terminée, patronage les boulangers. Ils sont une paire de à idée pour le machine : la boulange de Lasjaunias Frères de ce fait que celle-là de Pascal Persouyre, à Latronquière. “Je fais le pain tradition tous les jours. Je le pétris longuement, puis je le laisse reposer jusqu’au lendemain. Cela fait environ une quinzaine de pains. Pour le collège, je livre tous les 15 jours”, indique le apprenti. Il prémuni : “C’est une bonne chose pour les enfants. Ils mangent un produit lotois, et cela leur permet de découvrir autre chose que de l’industriel”.

Pascal Persouyre livre le collège de Latronquière tous les 15 jours.
Pascal Persouyre libelle le pension de Latronquière intégraux les 15 jours.
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Un diagnostic plus lesquels est capital d’acquiescement Serge Rigal, gouvernant du canton : “Les enfants sont sensibles à ce genre de choses”. Ce machine, dans l’élu, c’subsistait une postulat. “On veut travailler avec des produits locaux dans nos collèges. Le pain, c’était assez simple. On a du blé, on a de la farine et des boulangers : il fallait se mettre en accord pour faire du pain à haute valeur environnementale pour les collégiens.” Si, dans le particularité, toutefois triade collèges sont approvisionnés, Serge Rigal ne voile pas son intrigue : “On aimerait déployer ce dispositif dans le plus de collèges possibles”.

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