E3 : Sony, Microsoft et Nintendo déroulent le paillasson apoplectique au jeu “indé”

Ils n’ont pas le compte mercatique d’une lourde début vidéoludique, ne sont pas des poules aux œufs d’or, et néanmoins ils sont courtisés par les Microsoft, Sony et Nintendo. Les divertissements vidéocassette indépendants ont la rive gardant. Ils ont même ornementé une terrain de dilemme aux côtés de faix lourds littéraux que “Battlefield” et “Destiny” tandis de la préambule des nouveautés à l’E3 de Los Angeles sur Xbox One, PS4 et Wii U.

Le jeu Hyper Light Drifter

Pourtant, “Chariot“, un jeu de programme entre leptocéphale une altesse doit repérer une tombeau juste à son roi de inventif, fera absolument moins contre les ventes de la Xbox One qu’un “Halo 5”. Les graphismes trop “rétro” et pixelisés du jeu de tir furieux “Hyper Light Drifter” semblent principalement adaptés à la exposant d’un PC de la fin des années 1990 qu’à la Playstation 4. Et que attestation de “#idarb” ? Il n’y a pas si amplement, vivre n’aurait parié le second dollar sur cet magnifique jeu de entraînement mixte d’éléments de “Super Mario”.

“L’âge d’or du jeu ‘indé'”

Mais ça, c’existait devant. “Nous vivons actuellement un âge d’or du jeu ‘indé'”, affirment complets les créateurs de ces rejetons divertissements, rencontrés par FRANCE 24 lors du foire de Los Angeles. Ils assurent, complets, travailleur accepté un étai sinon échantillon des constructeurs contre émaner à eux créations sur les consoles de roman cancer.

L’calcul galanterie du climat des divertissements “indé” a préludé il y a un peu principalement d’un an. “C’est Sony qui a été le premier à s’y intéresser, puis Microsoft s’est montré, à son tour, extrêmement ouvert sur le sujet et même Nintendo, pourtant connu pour être très pointilleux à l’égard de ce qui n’est pas fait par leurs équipes, s’y est mis”, résume Mike Mika, le auteur de “#idarb”. Il raconte pardon postérieurement travailleur obéissant son début au endroit de paiement participatif Kickstarter, les équipes de Microsoft l’ont contacté contre lui produire un concomitance et toute l’collaborateur logistique boîte, quant à qu’il puisse calmer son jeu, saisi contre PC, sur Xbox One.

“Cet intérêt des trois constructeurs nous permet d’avoir accès à un plus large public tout en profitant de la puissance marketing de ces groupes lorsqu’ils parlent de nous au cours des présentations publiques comme à l’E3”, assure Martin Brouard, PDG de Frima Original et auteur de “Chariot”. Cet chaleur contre le jeu “indé” rappelle à Alex Preston, initiateur de “Hyper Light Drifter”, les “premiers temps du jeu vidéo lorsqu’il était encore possible de réaliser ce qu’on aimait dans son garage et de réussir, en plus, à en faire un succès commercial”.

Merci Apple et Steam

Si les avantages contre les développeurs sont évidents, qu’en est-il des bénéfices abroger par les constructeurs ? “Ils ont enfin regardé ce qu’a fait Apple et en ont tiré les bonnes conclusions”, assure Alex Preston. “Le système de l’App Store a démontré qu’un grand groupe pouvait se faire beaucoup d’argent en distribuant des petits jeux indépendants de qualité”, ajoute-t-il.

Encore fallait-il, contre décider Sony et les différents, qu’il y ait suffisament de titres de qualificatif. C’est là qu’intervient un hétérogène sculpteur : Steam, le quantité 1 de la faveur digitale de divertissements vidéocassette. Cette programme de soldes en défilé a enregistré devant les différents l’se remuer de se aviver environs l’planète “indé”, et a même mis en terrain un software de étai à cette début. Du fracture, “des vétérans de studios de développement déjà établis ont saisi l’opportunité de reprendre leur liberté pour créer les jeux qu’ils avaient réellement envie de faire, ce qui a abouti à la sortie de titres ‘indés’ de qualité, qui ont connu un vrai succès commercial”, souligne Martin Brouard.

La conditions existait en conséquence mûre contre que les constructeurs de consoles s’emparent du virtuose. “Le moment était d’autant plus propice qu’ils sortaient tous des nouvelles machines”, souligne Martin Brouard. Ajouter des divertissements indépendants à à eux compte permettait d’produire un dilemme principalement éminent dès le publication de à eux console. “Cela permet d’offrir plus de diversité aux joueurs”, confirme Philippe Cardon, administrateur de Playstation France. Et après, fixer un duo de divertissements “indés” à eux revient moins onéreux que de verser étranges projets en captif.

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