
Emmanuel Macron a déposé éreintement pour X la semaine dernière ultérieurement l’étal d’une œuvre d’art en Guadeloupe le marquant décapité.
La semaine dernière, le administrateur de la Cité a déposé éreintement pour X ultérieurement capital notoire un affiche le envoyé décapité en Guadeloupe.
Le boom du chlordécone
Présentée parmi le tenant de l’étal “Exposé.e.s au chlordécone”, au Centre des arts, au traitement de janvier en Guadeloupe, l’œuvre d’art montrerait un créature brandissant la minois chemin d’Emmanuel Macron en l’air, rapporte le média en carnèle bigidi.tv.
Intitulé “Non-Lieu”, le affiche créé par l’artisan Blow du “Kolèktif Awtis Rézistans”, serait une conclusion au relâchement voulu parmi l’commerce du boom du chlordécone, un pesticide apposé dans 1972 et 1993 et qui a touché des populations et les sols en Guadeloupe et Martinique.
Près de 95 % des Guadeloupéens et 92 % des Martiniquais ont été contaminés par le biocide et presque 18 000 hectares de cultures ont été touchés, expliquait le National Geographic.
“Pourtant, tout est dit”
En conclusion, Emmanuel Macron a déposé éreintement pour X au surveillance de Pointe-à-Pitre la semaine dernière. Une questionnaire officielle par la procureure de la Cité de Pointe-à-Pitre.
Trois artistes du communautaire ont tel quel été notifiés de sa éreintement.
Blow, artisan à l’évolution du affiche a réagi sur Facebook, expliquant ne pas atticisme “quoi penser” tel quel que sur son dépense Instagram : “Il paraît que l’Élysée porte plainte contre le collectif et contre moi […] Pourtant tout est dit…”
Une recherche juridique a été sincère et confiée à la civilisé juridique, disciple nos confrères.
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