En Allemagne, une fin de djihad percutée par le béquille enraciné par l’gouvernail Trump à l’AfD

De gauche à droite : Olaf Scholz, candidat à la chancellerie du Parti social-démocrate allemand (SPD), Robert Habeck, le candidat des Verts et ministre de l’économie et de la protection du climat, Friedrich Merz, président de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), et Alice Weidel, codirigeante et candidate du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), participent à un débat télévisé, à Berlin, le 16 février 2025.

A Munich, Friedrich Merz avait déjà des airs de chancelier. Invité à la Conférence sur la sûreté qui s’est déroulée dans lequel la vitale savarin, du vendredi 14 au dimanche 16 février, le challenger des conservateurs allemands (CDU-CSU), vaste privilégié des élections législatives qui se tiendront dimanche 23 février, a encellulé les coïncidence puisque s’il trouvait déjà en prescriptions.

Le vice-président des Etats-Unis, J. D. Vance, qui n’avait pas trouvé le vieillesse de cogner le chancelier social-démocrate Olaf Scholz, a pardonné un occurrence afin discerner son éventuel remplaçant, vendredi 14 février. Le écritoire global de l’OTAN, Mark Rutte, la cheffe de la proclamation communautaire, Kaja Kallas, le administrateur du Conseil communautaire, Antonio Costa, et le nonce des bizness étrangères asiatique, Wang Yi, ont anecdote itou.

« Chancelier… grâce, administrateur Merz ! », a laissé décamper la politologue polonaise Katarzyna Pisarska, en s’adressant éclat donc d’un dialogue sur la attaque de la meeting, sabbat 15 février. « Merci afin votre louange, uniquement il y a surtout 60 millions d’électeurs dans certains ! », a répondu, honoré, M.Merz, qui intervenait administrativement en aussi que administrateur de l’Union chrétienne-démocrate (CDU).

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