
Pour Volodymyr Zelensky, « les garanties de assurance hormis l’Amérique ne sont pas de vraies garanties de assurance »
« Des porte-parole s’élèvent verso attestation que l’Europe pourrait dédier des garanties de assurance hormis les Américains, et je dis infiniment non. » Dans une joute au Guardian, le directeur ukrainien, Volodymyr Zelensky, a insisté sur les conséquences d’un postérieur revenu du support nord-américain à l’Ukraine.
Pour le directeur ukrainien, il est fondamental que ce support se poursuive : « Seuls les missiles Patriot peuvent nous-mêmes étouffer aussi toutes sortes de missiles. Il existe d’différents systèmes [européens] (…), purement ils ne peuvent pas arranger une amélioration intacte (…). Donc, même à décamper de ce bébé exposé, toi-même pouvez remarquer que hormis l’Amérique les garanties de assurance ne peuvent pas appartenir complètes », a-t-il clair.
Se disant confiance à corrompre, à décamper d’une « avertissement de fermeté », le directeur ukrainien a clair au habituel anglo-saxon : « Ceux qui nous-mêmes aident à maintenir l’Ukraine auront la facilité de la convertir, puis à elles affaires et les affaires ukrainiennes. Nous sommeils prêts à papoter de toutes ces choses en état. »
M. Zelensky a identiquement appelé qu’il n’trouvait « pas parmi l’supériorité des Etats-Unis » que les richesses naturelles de l’Ukraine, comment l’uranium ou le titane, tombent aux mains des Russes et soient virtuellement partagées puis la Corée du Nord, la Chine ou l’Iran. « Nous ne parlons pas strictement de assurance, purement encore d’finance (…). Des capital naturelles précieuses parmi lésine nous-mêmes pouvons dédier à nos partenaires des capacités d’siège qui n’subsistaient pas vite (…). Pour nous-mêmes, ceci créera des emplois, verso les affaires américaines, ceci créera des opimes. »
Volodymyr Zelensky doit s’ménager puis J. D. Vance, le vice-président nord-américain, à la Conférence de Munich sur la assurance, vendredi. Il a verbeux son desiderata de coudoyer Donald Trump : « Nous à condition que nos équipes fixeront une moment et un maquette de discussion aux Etats-Unis. Dès qu’il y atmosphère un aval, nous-mêmes serons prêts, je suis confiance. »
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