De nombreuses questions restent en pause au postérité de la décimation d’Örebro en Suède. La décharge entre un amour d’issue à cause adultes a écho dix morts, en avec de l’agresseur, a propice mercredi 5 février la gendarmerie qui exclut ensemble considérant doctrinal.
“Le motif de la fusillade n’est pas encore connu, mais tout porte à croire que l’auteur a agi seul, sans motif idéologique”, a insisté la gendarmerie.
Elle n’a pas acte sur le monde ponctuel de blessés ni la effet des coups néanmoins les autorités régionales ont propice mardi que six foule avaient été hospitalisées derrière des coups par balles.
Les établissements scolaires trouvaient jusque-là incomplètement épargnés par les brutalités en Suède ci-devant cette décharge avancée en atmosphère de jour entre la état d’Örebro, à 200 kilomètres à l’ponant de Stockholm.
Les médias suédois assurent que le écorcheur, ensemble de sombre accoutré, a surpris son engin en échange de lui.
“Le cauchemar est devenu réalité”, a livre le familier Dagens Nyheter, entre un région où les établissements scolaires, lequel les portes sont le avec usuellement invariablement grandes ouvertes, trouvaient jusque-là incomplètement épargnés par les brutalités en Suède.
Selon la fermeture de récepteur TV4, il subsistait âgé de 35 ans et la gendarmerie a perquisitionné son abri à Örebro en fin de jour. Il avait un autorisation de prestance d’engin et un kiosque procédurier pudique, ajoute la fermeture.
L’homme existait courbaturé, n’avait pas d’usage et s’subsistait excusé de sa foyer et de ses amis, assure le quotidien Aftonbladet en citant des foule de sa foyer.
Des congrégation allongés sur le sol
“Je me tenais” ci-contre du amour de racine “quand j’ai vu quelques corps allongés sur le sol. Je ne savais pas s’ils étaient morts ou blessés”, a éclairci mardi réunion à l’AFP Linn M., 16 ans, scolarisée entre une confrérie à vers du canton de la décimation.
“Il y avait du sang partout, des gens paniquaient et pleuraient, des parents étaient inquiets (…) c’était le chaos”, a-t-elle dit, la entremetteur tremblante.
Le opéra s’est déroulé en atmosphère de jour au amour d’issue Campus Risbergska, réservé aux adultes préparant l’adéquat du bac.
Deux enseignants de l’entreprise, Miriam Jarlevall et Patrik Soderman, ont éclairci au acte Dagens Nyheter détenir conclu des sévices de feu entre un goulet.

“Des étudiants sont venus nous dire que quelqu’un tirait. Puis nous avons entendu d’autres coups de feu dans le couloir. Nous ne sommes pas sortis, nous nous sommes cachés dans nos bureaux”.
“Il y a eu beaucoup de coups de feu au début, puis le calme s’est installé pendant une demi-heure, avant que cela ne recommence. Nous étions couchés sous nos bureaux, recroquevillés”, ont-ils témoigné.
Les élèves du amour d’issue et des écoles voisines sont restés confinés sautoir étranges heures ci-devant d’caractère doucement évacués.
“Jour très douloureux”

Le roi de Suède Carl XVI Gustaf a honnête mardi réunion qu’il avait scolaire la histoire de la décharge alors “tristesse et consternation”.
Plus tôt, le Premier légat avait déploré “un jour très douloureux pour toute la Suède”.
“Mes pensées vont également à tous ceux dont la journée scolaire normale a été remplacée par l’horreur. Être enfermé dans une salle de classe, craignant pour sa vie, est un cauchemar que personne ne devrait avoir à vivre”, avait-il dit sur X.
Quelques incidents pourpre ont déjà eu canton ces dernières années entre des écoles en Suède.

En germinal 2022, un élève de 18 ans a poignardé à acmé quelques enseignants entre un collège de la état de Malmö, entre le sud du région.
Deux salaire avec tôt, un cadet de 16 ans a été arrêté derrière détenir irradié un étranger élève et un éducateur alors un hachoir entre une confrérie de la impalpable état de Kristianstad.
En octobre 2015, trio foule ont été tuées lorsque d’une lutte à complexion xénophobe entre une confrérie de la état de Trollhättan, entre l’ponant du région, par un agresseur armé d’un poignard, qui a alors été tué par la gendarmerie.
La Suède connaît ces dernières années des fusillades et des explosions d’engins artisanaux liées aux rivalités compris gangs et qui tuent des dizaines de foule tout cycle.
AFP
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