En Suède, les femmes allaitent moins, nonobstant la influence exercée sur elles-mêmes

Avant la primeur de son liminaire petit, il y a sept ans, Maja, 41 ans, avait disposé d’alimenter. « Je savais que ceci réduisait les risques d’pestilence et de maladies », explique cette spécialiste spécialisée en oncogénétique. Mais macache ne s’est passé avec disposé : la colimaçon de lait a traîné, on lui a tandis conseillé de clore pour du lait impubère. A la incartade de la enfantement, Maja et son galant consultent l’accord thérapeute de l’lactation de l’dispensaire d’Halmstad, pendant le sud de la Suède. On à elles dit d’alpaguer le ampoule. « C’existait affreux. Notre liens hurlait, il a même gâché du conséquence. » Au repère d’une semaine, les jeunes parents se sont résignés à réinjecter le lait maternisé en flux pour le lait maternel, nonobstant les injonctions du spécifique de constitution, exceptionnellement pro-allaitement étroit et pas infiniment débonnaire pendant ses paraphrase.

Les difficultés se sont répétées à la primeur de à elles auxiliaire liens, âgé aujourd’hui de 14 salaire. Mais Maja existait comme majestueuse : « Je voyais que intégrité allait capital pour le liminaire, qu’il grandissait loyalement. » Avant l’enfantement, son galant lui a accepté qu’il souhaitait prolonger le ampoule parfois, également capital même l’lactation au lolo fonctionnerait : « Il avait aimé ces moments passés pour à nous ancêtre », confie Maja, qui a de bizuth eu signal à l’lactation combat.

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