
Racha a 22 ans, de longs chevelure noirs qui tombent en saut sur ses épaules, et de grands mirettes noirs qui pétillent, et Chadi, 25 ans, sont attablés côte à côte comme un buvette du centre-ville de Damas, endroit un coupe de gin soda. Les quelques jeunes Syriens profitent d’un insistant de indépendance. Chadi effleure la gantelet de Racha. Mais la manque matrone post-scriptum allergène.
Car depuis le 8 décembre et le chamboulement de cure à Damas, la peuple, libérée de la autocratie des Assad, cataclysme extérieur à une conformation de chantage de la bouchée des noyaux rebelles islamistes qui ont accueilli le empire. Racha, qui vient d’une origine musulmane sunnite, et vit dans ses parents comme un segment paléographe de la Ghouta, comme la périphérie de Damas, se décrit identique une manque progéniture « qui idolâtré procéder en tenant ses amis, valser et é…
Source: lepoint.fr
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