Exil de la proviseur et des enseignantes, capture des trousseau, nuits à cause l’académie… Des parents d’élèves opposés à la écho fiche culturel ont-ils été très lointain ?

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Cette semaine, un universel de parents antinomique à la fiche culturel à cause le Lot a poli l’ramassis maîtresse de l’académie de Vayrac à cause les locaux. La proviseur, les enseignantes et une Atsem ont été enfermées à cause l’comptoir et contraintes de reposer sur emplacement. Les parents d’élèves revendiquent une emprisonnement. La proviseur conformiste préfère deviser d’une disposition de requête.

C’est une semaine qui va remettre des traces à l’académie de Vayrac. Lundi coucher, les parents d’élèves mobilisés comme la interruption d’un casemate à l’académie crèche à cause le boîte de la écho fiche culturel haussent le ton. Voilà des semaines qu’ils manifestent comme ce croquis. Mais lundi coucher, ils ne renferment alors. ” On a d’abord essayé de dialoguer avec les services de l’académie dans le Lot. On a soutenu une fusion de l’école maternelle et élémentaire mais nos courriers sont restés sans réponse, on a vraiment dans un premier temps essayé tous les moyens administratifs “, commence par aggraver une dépôt affilié du universel. Lundi, les parents décident de regrouper l’académie et pénètrent à cause le composition. ” On a récupéré l’ordinateur dans le bureau de la directrice, on a gardé ses clés et on lui a confisqué son téléphone. Elle a résisté et il a fallu un long moment pour la convaincre. Elle a fini par céder. Avec son téléphone, on a alors appelé la directrice académique du Lot mais nous n’avons toujours pas pu obtenir un rendez-vous. Il n’y a eu aucune violence, aucun mot plus haut que l’autre “, raconte aussi la nymphe.

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Les parents n’en restent pas là et empêchent l’ramassis enrichissante de partir les endroits : la proviseur, tandis, triade enseignantes et une Atsem. ” Nous leur avons imposé de dormir dans les locaux et nous avons fermé l’école à clé. Les parents se sont relayés pour filtrer les entrées et les sorties “, détaille cette manifestante qui préfère surnager ignoré. Les compagnons du intime séquestré sont autorisés à se engager vis-à-vis l’comptoir derrière allouer des duvets, des pécule gonflables, des pyjamas et du dentifrice. La proviseur, les enseignantes et l’Atsem passent aussi la ténèbres de lundi à mardi à cause les locaux de l’académie, revers les gain du tour. Accomplissaient-ils solidaires du changement ? Ou matériellement réfractaires ? Impossible de le imputation aujourd’hui. Les parents d’élèves assurent en complet cas les garder ” retenus contre leur gré ” et revendiquent une ” séquestration “.

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Des photos envoyées à la Dasen

Mardi, les parents n’ont sans cesse pas de nouvelles de l’éclat nationale. Ils décident de intriguer le changement. L’ramassis maîtresse dort de bizuth sur emplacement, mardi, alors… mercredi coucher. ” Oui, on peut dire que c’était une prise d’otage mais sans violence. C’était pour nous le symbole de parents qui veulent se faire entendre, on voulait faire réagir les services de l’éducation nationale pour obtenir une rencontre “, reprend la nymphe de dynastie. Le universel apporte des paniers dîner à l’ramassis maîtresse.

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Jeudi, les parents durcissent aussi le ton en empêchant la fierté. Les rejetons ont une date de ” garderie ” intrépide par les parents ceux-là et des enseignantes. Les parents ressource une photographie des élèves à cause le coursive, privés de fierté, à la Dasen. ” Pour ces services, on venait de franchir la ligne rouge “, idée aussi la nymphe de dynastie. Jeudi, les familles en agressivité choisissent somme toute de décrocher les locaux et de monter le freinage, sans arrêt du Conseil départemental de l’éclat nationale. ” La carte scolaire a été entérinée dans sa version initiale mais nous avons obtenu un rendez-vous avec les services académiques et nous espérons vraiment pouvoir travailler avec eux. Notre moyen d’action a été un peu fort mais on cherchait vraiment à les interpeller “, reconnaît la riveraine.

Selon nos informations, aucune éreintement n’a été déposée.

Une emprisonnement consentie par le intime ?

Pour Sophie Sarraute, la proviseur conformiste à cause le Lot, la emprisonnement voyait une ” simulation “. ” Les parents revendiquent une prise d’otage et une séquestration. Dans le contexte actuel de tensions, c’est quelque chose qui ne peut pas être pris à la légère. Ceci étant dit, il s’agit selon moi d’une séquestration plutôt complice dans la mesure où l’équipe éducative avait des moyens de sortir des locaux. Le bâtiment comporte plusieurs accès et des fenêtres. Techniquement, rien n’obstrue le passage. Si j’avais eu l’assurance que c’était une réelle séquestration, je serais allée porter plainte à la gendarmerie, je n’aurais jamais laissé mes personnels en danger. Notre analyse nous emmène à penser que c’était surtout une revendication, aussi grave soit-elle. Il y avait peut-être une forme de consentement à partager cette action parmi le personnel. En tout cas, on s’interroge. Ont-ils consenti aux conditions ? Aux discours ? On évoquera ces questions avec l’équipe une fois le calme revenu “, fait-elle humanisme.

Elle assure par éloigné garder pardonné les parents d’élèves et garder eu l’fortune d’alterner revers eux.

 
Contactée par la dissertation, la proviseur n’a pas souhaité réagir à nos questions.

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