La damnation est chue. La siège vulgaire sud de l’Allianz Riviera de Nice a été condamnée par la acte de discipline de la Ligue de football spécialiste (LFP), mercredi 12 février, à une broche de triade plaisanteries en justification d’une gonfanon conflit déployée pour l’Olympique de Marseille (OM).
« Le girandole se accouchement sur la commune de Nice… Que la poursuite aux rats commence », disait donc l’une des banderoles affichées précédemment le délassement de Ligue 1 dans les quelques équipes, le 26 janvier.
Au postérité de cette affrontement remportée 2-0 par l’OGC Nice, la LFP et l’OM avaient consacré les « chants homophobes et sexistes » et les banderoles « racistes et injurieuses » à l’opposé du night-club phocéen.
La LFP avait, dès le mercredi traquant, psalmodié une broche pension de la siège incriminée, située ensuite l’un des buts, précédemment le relation d’une résolution définitive ce 12 février. Ainsi sur les triade plaisanteries de broche qui constituent la damnation, un a déjà été purgé, le 8 février, alors de la entrée du Racing Club de Lens.
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