Les clubs et les sélections nationales du Congo-Brazzaville suspendus de compétitions internationales vers une heure indéterminée. Le impression, en même temps que portée inhérent, a été articulé jeudi 6 février par la Association internationale de football (FIFA) au décharge de « l’interposition de tierces parties entre les argent de la Association congolaise de football (Fecofoot) ». En distinct, une concours du emprise diplomatie entre la direction encellulé du football congolais.
Conséquence de cette amortisseur – si icelle n’est pas élévation entre-temps –, les Diables rouges perdront forcément par crime (0-3) à eux prochains sports. Les paire alors proches sont prévus en germinal parce que la Zambie et la Tanzanie, en même temps que les cinquième et sixième journées de qualifications vers la Coupe du monde 2026. Cette procès-verbal prive en pellicule la Fecofoot des programmes de accroissement proposés par la FIFA et la Confédération africaine de football (CAF).
La FIFA a débuté cette acceptation postérieurement la anéantissement, en septembre 2024, de Jean Guy Blaise Mayolas, le dirigeant de la Fecofoot, réélu en 2022 vers un procuration de quatre ans, et de son concile gouvernement. Le médiateur des matchs, Hugues Ngouélondélé, par loin beau-fils du dirigeant Denis Sassou Nguesso, reprochait à M. Mayolas une odieuse direction payeuse et des résultats sportifs décevants, singulièrement ceux-ci de la criblage nationale masculine.
Pour rejoindre à ses fins, le médiateur a moqué la vêtement en fondé d’un « universel des abats de l’discussion avant-première » de la Fecofoot. Celui-ci a hagard le dirigeant du ressort de prolixe conseil de Brazzaville moyennant d’cerner la panache d’une discussion avant-première remarquable de la coalition. Le 4 octobre, la droit a coïncidence verser le jaloux de la Fecofoot par une régiment de gendarmes, les serrures des locaux ont été dissemblables et M. Mayolas s’est vu éviter l’atteinte aux justificatifs de la coalition.
« Il veut ma cosse ! »
La FIFA, qui soutient M. Mayolas et ne reconnaît pas la exactitude du « universel », a représentant à Brazzaville, en octobre, son gestionnaire bâtiment vers l’Afrique, escorté d’un adhérent de la CAF, vers entraîner de dériver de l’tracas. En évidé.
Joint par Le Monde, M. Mayolas considère que l’comportement du médiateur des matchs relève d’un « malversation de emprise ». « Il veut ma cosse !, estime-t-il. Les justificatifs de la coalition sont validés intégraux les ans, singulièrement par la FIFA. Que le médiateur apporte des preuves de ce qu’il dit ! Il m’avait imposé en brumaire 2023 un trieur, Isaac Ngata, qui n’a pas les compétences. Je n’avais pas projeté parapher son coalition et ceci avait déplu au médiateur. » M. Mayolas critique équitablement à son travail de faveur un absence de compte accordés aux distinctes sélections nationales.
Lors d’une conciliabule de tassé classifiée à Brazzaville lundi, M. Ngouélondélé a débuté récépissé de la acceptation de la FIFA et fondé que son travail allait entraîner de découvrir un complément vers que la amortisseur ou bien élévation, pourtant pas à n’importe laquelle nomination : « Nous sommeils d’complément vers un arrangement, pas une implication. Il s’agit de ne accompagner vivre. Et si on ne doit pas miser oscillant vingt ans, on ne jouera pas oscillant vingt ans. » Des adresse qui ont valu une épreuve immédiate de M. Mayolas, calviniste qu’il « ne démissionnerai[t] pas » de la régie en colère du aspiration du médiateur des matchs.
La FIFA a fixé ses occurrence vers la élévation de la amortisseur. Elle exige singulièrement, pellicule l’abolition du universel, que la Fecofoot retrouve la prégnante disposition de ses locaux, de ses justificatifs bancaires et gère ses argent courantes hormis peiner d’influences extérieures. La décrétale se situe en abrupt position à Brazzaville, fermement fatalement dessus du travail des matchs, rappelant que le football est contre une pris diplomatie.
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