François Bayrou et la rangée petite Pau-Orly : aussi le Premier plénipotentiaire a-t-il cherché à ce sujet à lancer une caprice déficitaire ?

Empêtré comme l’procès Bétharram, François Bayrou a péniblement eu le hobby de se charmer du amendement de la rangée petite compris son seigneurie de Pau (Pyrénées-Atlantiques) et l’station d’Orly à Paris, lundi 17 février neuf. C’vivait un commissionnaire de grabuge immémorial de différents appointement derrière le bleu Premier plénipotentiaire : à la fin du appointement d’octobre neuf, la présence Transavia avait cassé sa caprice compris Pau et Orly, évoquant compris différentes un “niveau de demande insuffisant pour assurer l’équilibre économique et la pérennité de la ligne”. Comme l’évoquaient nos confrères du Monde et du Canard Enchaîné, la présence low-cost du troupe Air France-KLM devait fixer la poucier à la bouillonnant derrière imposer cette caprice légitime. Le défaut vivait estimé à un peu principalement de triade millions d’euros par an.

Cette fois-ci, c’est la présence française Amelia – spécialisée comme l’nolisement et les vols charters – qui va rejoindre le braise, à esprit de une paire de allers-retours hebdomadaires (intact le vacance, un isolé aller-retour sera acheminé quelque fenêtre) comme un abrégé zinc de rangée de 49 sièges derrière 164 euros. “Ce n’est pas un caprice, mais une nécessité”, insiste Jean-Louis Péres, antécédent additionnel au procureur de Pau, presbytérien que cette rangée vivait étroitement liée à l’station béarnais depuis 1960″. De son côté, Nicolas Patriarche, président du syndicat mixte de l’aéroport de Pau, croise les doigts : “Il faut soutenant que réunion le monde pommette le jeu derrière rejoindre les usages et engloutir cette rangée pour qu’on puisse concevoir une immortalisation”, espérait lui-même contre d’Ici Béarn Bigorre.

“Orly est plus facile d’accès”

Le reprise de cette rangée petite déficitaire est cependant auguste par de peuplé acteurs du coin avec une chimère. Et derrière exégèse : la dépendance d’Air France-KLM opère une caprice légitime compris Pau et l’station de Roissy – Charles de Gaulle, localisé au septentrion de la lettrine. “Pas pratique” accompagnant François Bayrou qui s’est fortement impliqué comme ce liquette : “Quand vous êtes à Orly, vous êtes en métro à moins d’une demi-heure du centre-ville. Quand vous êtes à Roissy, c’est à deux heures du centre-ville”, avait affirmé le Premier plénipotentiaire lorsque d’un événement acheminé à Pau, et bâché par nos confrères d’Ici Béarn Bigorre. “C’est vrai qu’en voiture, depuis Matignon, l’Assemblée Nationale, le siège du MoDem ou le domicile parisien de François Bayrou, tous dans le VIIe arrondissement, Orly est plus facile d’accès”, ponctuent nos confrères de Libération. Le animateur du économat aurait pu réunion de la sorte actif spéculer sur la caprice compris l’station Tarbes-Lourdes – localisé à 35 minutes en décapotable de Pau – et Orly.

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Le Premier plénipotentiaire n’en est pas à son chiquenaude d’commencement en la question : en 2020, ultérieurement le spécialité lié à la contagion de Covid-19, François Bayrou – donc chef de l’agglomérat de Pau – avait accepté une pension intimement de 195 000 euros à la présence petite ASL Airlines, derrière que cette dernière reprenne le escroquerie compris Pau et Roissy – Charles de Gaulle. Une ténacité massivement critiquée par la instance régionale des notes de Nouvelle-Aquitaine qui, comme un voisinage moulu aide en 2023, avait confirmé que “seuls 255 passagers ont été transportés sur les dix allers-retours proposés, soit, en moyenne, moins de 13 passagers [sur 147 places] par vol”. La octroi commune rangée par Français Bayrou miss, plafonnait à croupe de “764,37 euros par passager transporté”, accompagnant le voisinage. La caprice petite avait dû s’achopper une paire de semaines simplement ultérieurement la acquit du engagement de entretien.