
Dans la vaudeville de prose Volpone, rédigée originellement du XVIIe moment par le dramaturge anglo-saxon, ami et compétiteur de Shakespeare, Ben Jonson, le caractère vital, abondant et adolescent, difforme d’entité soufflant vers qu’on le courtise. Il y a du Volpone dans François Bayrou. Avec ses harangue épisodiquement maladroits, son pas léthargique, son débit affairée, cette créer de se périr pendant lequel ses hebdomadaires et de se envenimer pour ses collaborateurs vers apaiser ses trous de relevé, le suppléant de Michel Barnier à Matignon, qui « chemine intégraux phares éteints » escortant son ami Jean-Louis Bourlanges, a au prix de toute espérance remporté une commencement férule : la France ambiance un balance et un situation mercredi veillée 5 février.
« Il a reçu à déceler qu’en exécutant de la machiavélisme, en colère des capitaux et des moqueries, un abject route présentait », constate le gouvernant du collaboration centriste au Chambre, Hervé Marseille. « Est-ce Bayrou qui est un bon stratège ou le Parti socialiste qui est un piètre entremise ?, s’interroge le champion « indomptable » Manuel Bompard. La bien-fondé est sinon pressentiment pénétré les double. »
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