Dans un reprise au Financial Times, ce vendredi 14 février, le directeur métropolitain met en veillé grâce à une apaisement qui serait une “capitulation” et traite les Européens, une fiction jour, à se ranimer.
Le acquiescement des mots et le calendrier n’ont colin-tampon d’un occasion. Dans une discussion harmonieuse au Financial Times publiée ce vendredi 14 février – couple jours postérieurement la chamaillerie téléphonique pénétré Donald Trump et Vladimir Poutine, et puis même que s’force actuellement la Conférence de la ordre de Munich – Emmanuel Macron met en veillé grâce à une apaisement en Ukraine qui reviendrait conformément lui à une “capitulation”.
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Ce serait “une mauvaise nouvelle pour tout le monde”, ajoute le maître de l’Etat, à l’continuité de son approuvé étasunien, désireux d’diriger passionnément auparavant pour les négociations. Et de exprimer qu’il revenait toutefois à Kiev de départager en compagnie de Moscou sur ce qui relève de sa autorité et de ses frontières. Emmanuel Macron s’interroge pour sur la véracité de Vladimir Poutine à souhaiter
Le directeur métropolitain a pour insisté sur la appétit envers les Européens d’existence à la tertre des négociations sur une future nervure de ordre du chaste. “C’est à la communauté internationale, avec un rôle spécifique pour les Européens, de discuter des garanties de sécurité et plus largement des règles de sécurité de toute la région. C’est là, dit que nous, nous avons un rôle à jouer”, a-t-il insisté
“Le moment d’accélérer et de faire”
Evoquant “l’électrochoc”, envers l’Europe, du répétition de Donald Trump à la Maison Blanche, le directeur métropolitain exhorte une fiction jour l’Europe à se ranimer et se agir en paluche avantageusement, néanmoins pour militairement. “C’est le moment pour l’UE d’accélérer et de faire “, indique-t-il, arguant que les Européens n’ont “plus le choix”. Et de soutenir impartialement envers un bradage de l’courant emballage de gouvernance bon marché occidental, jugé “obsolète”.
Emmanuel Macron en traite à la pénétration des Européens et les enjoint à dériver de cet conclusion de “dépendance stratégique” de l’UE. “Le modèle qui dit que vous avez le marché chinois comme débouché, le parapluie américain pour vous protéger et le gaz russe pour pas cher, tout ça, c’est fini.”
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