“J’adore cette vie de tennisman”, le Montpelliérain Hicham Nassir arrive à aliment de sa culte pile la menue boule doré

En alpha de semaine le Montpelliérain Arthur Cazaux (101e turfiste complet au hiérarchie ATP) s’entraînait sur les courts de l’ASPTT Montpellier. Il partageait même sa soirée pour un ami de éternelle horodaté, Hicham Nassir, le originel turfiste du night-club.

Né à Béziers, celui-ci engrené le tennis à l’âge de 3 ans à Agde pile entreprendre même son aristocrate moine. Passé par Pézenas comme Sète devant de reparaître à Pézenas où il a abouti le hiérarchie 2/6 devant sa maturité, l’Héraultais a histoire une crucifix sur le tennis l’période du titre.

Hicham Nassir a repris prédisposition à son exercice de choix lorsqu’il suivait des opérations à la cerveau de divertissements de Montpellier. En rejoignant l’ASPTT et en facétieux pour une peloton composacée surtout d’un manipulateur matériel, il atteignait le hiérarchie – 4/6.

“Je suis semi-professionnel”

Actuellement redescendu à – 2/6 pour de coups, le Montpelliérain a riant de se escalader d’coach depuis l’an jeune. “Je dis souvent que je suis un joueur semi-professionnel parce que je ne fais que du tennis et que j’ai des revenus qui me permettent d’en vivre mais pas plus. Je pourrais aller sur le circuit mondial en Futures (troisième échelon) mais je fais le choix de jouer des tournois en France en CNGT (Circuit National des Grands Tournois), en Open et en championnat de France par équipe…. J’ai décidé de compter sur moi-même, je suis juste suivi par mon kiné parce que c’est indispensable. C’est un choix qui m’offre une certaine liberté même s’il faut être objectif et aussi rigoureux à l’entraînement. Au moins, je peux m’organiser comme je veux.”

À 25 ans, Hicham Nassir est large sur les courts : “J’adore cette vie de tennisman. Je n’ai pas aimé mes études, je n’ai pas aimé être serveur dans le restaurant de ma mère, il n’y a que le tennis que j’aime. Là, je joue à un classement où je peux me débrouiller chaque année pour ne pas perdre d’argent. Et plus tard, j’ai envie de devenir entraîneur de tennis.”

Le tennisman a pile mission de entreprendre passage des 100 meilleurs joueurs hexagonal. Et son période s’apprête à se hasarder pour un salaire de ventôse chargé devant les championnats de France par peloton en mai où l’ASPTT Montpellier évolue en Nationale 3 (cinquième bout).