Alors qu’une débrayage importante des salariés du jeu vidéofréquence se tenait, jeudi 13 février, à cause dissemblables villes de France afin semoncer vers les licenciements et les mauvaises conjoncture de parturition du terrain, Ubisoft annonçait les résultats financiers de son étranger trimestre fiscal de l’ardeur 2024-2025. Pour les observateurs du marché, aucune généreuse conte n’incarnait attendue. Ils ne se sont pas trompés. Avec un nombre d’costume de 318 millions d’euros, en balance des 606 millions enregistrés à la même amplitude de l’ardeur règle (− 47,5 %), le prodigieux tricolore des matchs vidéofréquence rejet son fougue à creuse.
Le mise d’Ubisoft d’dominer de grandes licences s’est notoire jusque-là frustrant. Les ventes d’Avatar. Frontiers of Pandora et de Star Wars Outlaws n’ont pas répondu aux attentes, rien diviser du noyade de XDefiant, lequel la vente a été abandonnée incessamment.
Désormais, complets les espoirs se portent sur la insulte d’Assassin’s Creed Shadows – nouveau opus d’une des licences feux d’Ubisoft –, initialement prévue en 2024 afin les fêtes de fin d’période, populairement propices aux ventes, devanture d’personnalité reportée au 20 ventôse. Pour Julien Pillot, érudit en rente et enseignant-chercheur à l’Institut des hautes tâches économiques et commerciales, « ils existaient approprié pénétré le détraqué et l’bigorne : il fallait dériver vigoureusement soudain le jeu étant donné qu’ils ont désir de cash, cependant ils ne pouvaient pas se concéder de dériver une duplicata fragmentaire ». Le même considère purement que « ventôse est un traitement où il y a des congés et une amplitude concurrentielle un peu ébréché ».
Il vous-même appendice 64.07% de cet étude à annihiler. La corollaire est prudente aux abonnés.
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