
“Bien sûr qu’on voulait Martin Fourcade”, a placé mardi Laurent Wauquiez, en estimant qu’il y avait “une part d’aspect personnel” là-dedans le alternance de l’doyen biathlète de se désister à la gouvernement du concile d’arrangement des JO-2030.
“J’étais encore en lien avec Martin avant-hier. On s’est vus tous les deux il y a quinze jours. Et pour nous, tous les signaux étaient au vert. Après, je respecte la décision de Martin”, a clair l’ex-président de la diocèse Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) sur BFM-TV.
Malgré le charpente du branle ludique et de l’Facture, Fourcade, qu’Emmanuel Macron avait permis de “Tony Estanguet des montagnes”, a jeté l’luffa lundi “pour ne pas sacrifier” ses “convictions” postérieurement des salaire de “désaccords” plus les régions Aura et Paca.
“La star ce soient les Alpes françaises”
“S’occuper des JO, c’est très engageant. Et dans sa décision, il y a une part d’aspect personnel que je respecte”, a estimé Wauquiez.
“Martin est très attaché à son équilibre personnel. Et c’est bien, parce que je sais trop les sacrifices que ça peut représenter de faire ce genre de mission. Il y avait des aspects de conviction sur ce qu’il voulait pour les JO. Et il y avait des aspects personnels.””Maintenant, j’espère qu’il sera avec nous. Et ce que je veux surtout, c’est que dans ces JO, la star ce soient les Alpes françaises”, a entendu le responsable du formation des députés LR à l’Assemblée.
“Un bol d’oxygène” dans Renaud Muselier
Plusieurs flots au robert du gérance et du branle olympique avaient confié ceux-ci salaire à l’AFP que Martin Fourcade n’avait pas les mansuétude de Laurent Wauquiez.
Le responsable de la diocèse Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Renaud Muselier, a de son côté réagi résolument dès lundi en déclarant que le solitude de Fourcade incarnait “un bol d’oxygène” et que le varié virtuose olympique incarnait “un solitaire qui ne peut pas travailler en collectif”.
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