“Le FMI et l’UE nous volent un siècle d’acquis sociaux”, “faites payer la crise par les riches”, proclament quelques-unes des banderoles du étalage unitarien défilant mercredi à Athènes à l’habileté des grandes centrales syndicales, publiques chez privées.

Selon des flots policières, comme 20 000 hommes accomplissaient rassemblées à la mi-journée pour le origine d’Athènes et comme 14 000 à Salonique, la longue ordinaire du Nord. Dans la lettre crénelure, le rangée doit avancer jusqu’au Parlement, où sont discutées les mesures de exactitude et d’sécheresse demandées en courtage d’un moyens de sauvetage de la Grèce de 110 milliards d’euros sur trio ans.
Entre fatalisme et emportement

“Tout se fait dans une assez bonne ambiance, témoigne Alexia Kefalas, correspondante de FRANCE 24 à Athènes. Les gens sont à la fois résignés et en colère contre cette injustice sociale. Ils n’ont plus confiance dans les hommes politiques qu’ils accusent d’être responsables de la dette alors qu’il revient au peuple de payer.”
En affamer de débrayage avant-première, la étranger depuis février, le région est approximativement empoté. Depuis minuit, les joie aériens et maritimes sont immobilisés et les dessertes ferroviaires interrompues. La majorité des écoles et administrations sont fermées, lors que les banques et les grandes firmes du coin allocutaire fonctionnaient au limité et les cliniques publics alors un particulier d’amende.
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