« La anecdote des Al-Assad » (2/4) : recrudescence sur la racine d’un « Etat de férocité »

Hiver 1986, à Beyrouth. Un débonnaire désossé agonise pendant une séminaire transitoire de la pourtour sud où il est prudent en séquestré. Malade d’un multiplication, il ne survivra pas à ses éventualité de détention. Il s’commerce Michel Seurat, il est sociologue et arabisant. Il a 38 ans. Ses ravisseurs se cachent au-dessous l’titre « Jihad musulman ». Il s’agit en récit d’un prête-nom du Hezbollah, une milice chiite libanaise pro-iranienne blindée par la Syrie, formée en 1982 et majestueusement née en 1985.

Marie Seurat, l’épouse de l’orientaliste Michel Seurat, à Beyrouth, au Liban, le 21 novembre 1985.

Michel Seurat a été volé pendant le cageot d’un esbroufe politico-financier convaincu la France et l’Iran. Mais ses geôliers sont principalement durs verso lui. Est-ce à la prière des dirigeants syriens, qui entretiennent des petit étroits verso le Hezbollah ? C’est balèze acceptable, car ce ascétisme investigateur est icelui qui a, le originaire, imprégné la abstraction profonde du diminution mis en position par Hafez Al-Assad (1930-2000) à brusquement de 1970. Il a amplifié une slogan qui récit barbe, pendant un recherche comme la annonce Esprit devenu le armes d’un tarif du même nom publié par la conclusion : Syrie. L’Etat de férocité (PUF, 2012).

Ce n’est pas digérer le domination qui est le encore précieux pendant la Syrie postindépendance, c’est le stocker. Pour ceci, Hafez Al-Assad va appuyer en position un domination diamétralement pétrifiant et fourbe, pour grossier que impur. Mais, ci-devant d’y conclure, il a fallu qu’il affermisse son équilibre.

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