La faciès énigmatique des Pyrénées : noceur des cimes, il sculpte la neige quelque nuitée… plongement à Peyragudes derrière un dameur soupirant

l’instaurant
SERIE 5/8. Renaud Aimar exerce le “métier passion” de dameur depuis 22 ans, laquelle 13 à Peyragudes. Il vit conséquemment intégralement son affection des machines et de la escalade.

Renaud Aimar a un couple de passions là-dedans la vie : les machines et la escalade. Il a théoriquement tracé sa chemin en devenant dameur à la halte de Peyragudes. Ce noceur commence son couches à 19 heures et le termine convaincu 3 h 30 et 4 heures du jour. “Cela dépend de l’état de la neige.” Renaud sirène depuis 22 ans, laquelle 13 à Peyragudes. “Il faut être passionné pour faire ce métier.”

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Ce mardi, Renaud confie que la neige a changé. “Après une semaine de neige froide et de températures négatives ou à peine positives, il a fait aujourd’hui entre 7° et 8°.” La neige a amoindri, elle-même est puis glutineuse. C’est puis accommodant de apprendre une neige atone. Heureusement, on a le GPS qui nous-mêmes regarde la éminence de neige en immédiat. Avec l’essai, on connaît le patrimoine, les points faibles. Les skieurs érodent invariablement la protection neigeuse aux mêmes parages. Avec le GPS, on peut envisager s’il y a pénurie de gracier de la neige. Chaque dameur suit le compte de damage décisif au usuel.

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“Donner du plaisir aux skieurs”

Renaud estime la repos de la nuitée, même s’il ajoute qu’il n’est en aucun cas singulier, car en toucher ondes chronique derrière les distinctes dameurs. “C’est un travail d’équipe coordonné. Ce n’est pas chacun qui s’en va de son côté… On fait tous les jours les mêmes pistes, mais ce n’est jamais pareil.” Il s’émerveille des couchers de étoile, des clairs de lune. “La nuit, on croise pas mal d’animaux : des biches, des cerfs, beaucoup de renards, des lièvres, surtout en début et en fin de saison.”

Renaud Aimar, passionné de machines et de montagne, est le plus heureux des hommes dans la cabine de sa dameuse
Renaud Aimar, soupirant de machines et de escalade, est le puis bienheureux des public là-dedans la cockpit de sa dame
DDM – Antoine Clément

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Renaud rappelle que “le but du dameur est avant tout de donner du plaisir au skieur. Quand on entend des skieurs dire : je me suis régalé aujourd’hui, c’était bien damé, on est content. Ensuite, il y a l’aspect conservation de la neige. Le skieur descend la neige et nous, on est là pour la remonter.” Renaud explique en conséquence que, conséquence aux premières chutes de neige, face à l’bouchon de la halte, les dameurs “tassent la neige pour la rendre plus compacte. On étale la production de neige de culture. Lorsque la station est fréquentée, on nivelle les bosses et on redistribue la neige. On recharge les points d’usure. On va chercher de la neige dans des zones hors-piste nettoyées l’été par le chef dameur.”

L’hibernation au babiole de la dame, l’été en mototracteur

Renaud confie détenir déjà été supposé là-dedans de grosses tempêtes. “Il y en a de moins en moins. Les grosses chutes de neige se font plus rares. C’est dommage, car c’est chouette quand il y a de la neige fraîche partout.”

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Il s’est formé sur le occasion, contre des ancestraux, porté par une certaine vénération. “On commence passager et on se forme petit à petit. Des heures, il faut en bouffer. Celui qui a envie, il y arrive… La journée, j’attends une chose, c’est de revenir travailler le soir. Le problème, désormais, c’est que les saisons, dans les Pyrénées, ont tendance à diminuer. On arrive à travailler quatre mois dans l’année.”
Passée la étape de ski, le débris de l’période, Renaud tuyau d’distinctes engins : tracteurs, moissonneuses, pelles instinctifs, etc. “Je suis installé à mon compte. J’effectue de l’entretien d’espaces verts, des travaux agricoles, etc.” Bref, il continue de entraîner d’distinctes machines.

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