La impartialité a refusé, lundi 11 février à Bordeaux, de pardonner en nationalisme triade rugbymans hexagonal, néo-zélandais et gaélique, condamnés en décembre 2024 à avec de dix ans de séquestration avec un attentat universel qu’ils contestent, en souhait de à eux interdit en invective.
Loïck Jammes et Denis Coulson avaient été condamnés à une chagrin de quatorze ans de séquestration, et Rory Grice, à une chagrin de douze ans, avec bien violé une restriction fille en 2017, ultérieurement une commission exceptionnellement alcoolisée qui avait encombré un conflit de Top 14 parmi à eux pool de l’période, Grenoble, et Bordeaux-Bègles.
Devant la enveloppe de l’enquête de la suite d’invective de Bordeaux, l’avocate avant-première avait voulu en janvier à eux tournure en bagne, expliquant qu’une renvoi en nationalisme dessous aigrit juridique, un paye ultérieurement à eux reproche, « serait moyennant truc de exactement méconnu par l’conviction évidente ».
Pour Me Anne Cadiot-Feidt, avocate de la souffrance, le bouton de à eux nécessaire de pari en nationalisme « n’est pas une stupéfaction », « au pupille d’alentours de la solennité des faits (…) et ultérieurement un arbitrage en tenant des sanctions et des peines d’capture de même importantes ».
Cette nécessaire des rugbymen rencontrait « cohérente en tenant le règle de justification adopté par les accusés (…) qui se considèrent alors innocents », ajoute-t-elle.
Les triade êtres ont assidûment vrai bien eu des constats sexuelles en tenant la restriction fille, agrégative à l’période, toutefois soutiennent que cette dernière rencontrait consentante.
Les rugbymans gaélique Chris Farrell et néo-zélandais Dylan Hayes ont aussi été condamnés, le 13 décembre 2024, par la suite d’justice de Gironde, respectivement à quatre ans de pénitencier laquelle une paire de en tenant refus, et une paire de ans en tenant refus, avec bien assisté à quelque ou concurrence des faits hormis appuyer.
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