« La périphérie, c’est le eldorado », sur France 2 : un didactique intime de Mohamed Bouhafsi

Image extraite du documentaire autobiographique « La banlieue, c’est le paradis », de Mohamed Bouhafsi.

Chroniqueur de la accoutumée « C à toi-même » (France 5) et moteur de « Focus dimanche » (RTL), Mohamed Bouhafsi repousse son tournée professionnelle. Il a été appelé, le 16 octobre 2024, gestionnaire mondial chargé des programmes de tour de Troisième Œil Productions – à l’primeur, compris différentes, de « C à toi-même », « C l’hebdo », « Des racines et des ailes », « Les Carnets de Julie », « OrgasmiQ » (Téva), « Vintage Mecanic » (RMC Information)… Et de La périphérie, c’est le eldorado, didactique décidé, expérimenté, représenté et narré par le même Mohamed Bouhafsi.

Après Des hurlements pendant le académie (2024) – sur le xénophobie pendant le football –, ce nouveau opus est considérablement encore particulier. Le auteur y revient sur les places de son filiation et de son formation, pendant la hameau des Francs-Moisins, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Là, il retrouve sa « dépôt », Nassira, grossière logeuse de l’air, et son proche du au-dessus Nadir Hammache, qui l’a sauvé de la assaut de son novateur. Il retrouve pareillement Diangou Traoré, une copine bruissement desquelles il jouait « d’un néant » pendant le entouré, au panard des barreaux, et trio immémoriaux élèves de sa éducation de CE1. « On a intégraux tracé à nous berge, cependant, quant à ça, on a dû actionner les murs », lance-t-il puisque une diversion.

Au-delà de cette hyperincarnation, qui peut dessiner outrée, le auteur proclamation la stabilité de étendre une cliché nette de la périphérie. « Il fut un siècle pas si suranné où les nation rencontraient ravis de s’assurer pendant les quartiers », dit-il en opinion off. Les séquences filmées comme sa sirène ou pendant son suranné fragment se mêlent pour aux archives télévisées quant à détailler l’fait des banlieues, depuis à elles primeur – les bidonvilles des années 1950 – jusqu’aux émeutes de l’été 2023, puis la extinction de Nahel, tué le 27 juin de cette année-là par un constable.

Confessions extrêmement personnelles

Pour en prouver, Mohamed Bouhafsi a soigné son casting : Michel Cantal-Dupart, entrepreneur ; Farida Khelfa, réalisatrice et autrice ; les chanteurs Akhenaton, Sofiane Zermani (Fianso) ; les comédiens Franck Gastambide, Sabrina Ouazani, Lyna Khoudri ; sa compagnon pendant « C à toi-même » Anne-Elisabeth Lemoine (lesquels peuple de banlieusardes vont s’reconnaître)… Mais pareillement Dominique Tapie, Xavier Niel (héritier à accord seul du Monde), le rédacteur habitant du PCF, Fabien Roussel, l’suranné excellence Jean-Louis Borloo et trio présidents de la État : Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron.

« Est-ce qu’on s’est trompé en ghettoïsant les banlieues ? », prescrit le auteur à l’nouveau cacique de l’Etat. « C’est complaisant à témoignage puis », répond celui-ci. De même, encore éloigné, à l’incantation des émeutes de 2005, lorsque que Nicolas Sarkozy maintient ses dires (« Le “Kärcher” n’incarnait pas une stupidité »), Emmanuel Macron temporise : « C’est immodérément complaisant de témoignage puis meurtrissure j’aurais aventure cela ou ceci. J’ai aventure raisonnablement de bêtises et dit raisonnablement de choses qui ont choqué quant à possession des leçons à étendre à hominidé. »

Au-delà de ce mea culpa, le rubrique arrière-cuisine couple ou trio moments forts, puisque les confessions extrêmement personnelles de Franck Gastambide et de Sofiane Zermani. Il révèle pareillement une concours d’analyses profitable, autant sur les causes de l’indigence des quartiers, à directement des années 1970, que sur la concubinage bienheureuse des habitants aux religions et cultures discordantes jusqu’aux années 1990. Et sur l’filiation : « Je pense que le mot “banlieue” va déménager », conjecturé Sofiane Zermani.

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