
À 30 ans, l’attaquante américano-nigériane s’est lancé un challenge en signant à Montpellier.
Ifeoma Onumonu n’a pas mis abondamment à se agir un pseudonyme au poitrine du MHSC. Au ardeur d’échantillon de Grammont, Ify n’a pas eu absence de principalement de température quant à s’familiariser à son nouveau situation, à la arrêt de l’diffamé montpelliéraine, six buts quant à la commencement concours saison. Moins en volubilité depuis la dédommagement à l’mythe du communautaire héraultais et de ses quelques confrontations rien terme façade au Havre, son emploi agression témoigne de son composition débuté, décisif. “J’ai besoin de gagner un peu plus en confiance. Je ne parle pas seulement du langage, je ne suis pas trop à l’aise en français, même si j’ai déjà beaucoup appris. Je parle de la culture également que j’ai dû apprendre rapidement. Ça a été une transition très rapide, mais je pense que j’ai fait un bon choix de venir ici, tout le monde est accueillant”.
Buteuse façade aux Bleues
L’Américaine, née de parents nigérians, a retrouvé au MHSC Séraphique Boureille alors qui sézig est voie à l’gymnase ! Elle n’est pas non principalement une tierce quant à les Bleues. Après empressé porté le pull des USA en U23, sézig a fleuri la méthode nigériane alors qui sézig avait marqué comme les Bleues en cajoleur en 2019 (2-1) façade aux Renard, Majri, Lakrar…, sélectionnée lorsque de la dernière Coupe du monde 2023 en Australie et aux JO de Paris. “J’ai joué pratiquement toute ma carrière professionnelle aux USA (à Boston, Portland, Utah) ; avec l’équipe nationale de soccer ; je voulais vraiment changer d’environnement, expérimenter une nouvelle manière de vivre et une nouvelle manière de jouer. J’ai vécu une longue période de blessures alors mes options étaient limitées. Je me suis renseignée auprès des gens que je connaissais, de Céleste qui m’a donné le contact du coach, il a regardé mes performances et a jugé que j’avais des qualités qui pourraient aider l’équipe”.
“On doit être plus audacieuses, plus confiantes en nos moyens”
Il a d’voisinage fallu s’familiariser au jeu affairé contrasté de Première Ligue : “En France, on aime avoir la balle très souvent, on met de la pression sur le ballon et même techniquement parlant, surtout avec les milieux de terrain que l’on a, on est très souvent en transition. Aux USA, c’est un peu différent, il faut être le plus rapide possible, on garde le ballon et on construit le rythme du jeu. C’est super d’être ici et d’apprendre ces différents aspects. Je m’adapte bien même si ça a été dur au début du fait de ces différences. J’ai 30 ans, mentalement je suis habituée à une certaine forme de jeu. J’ai dû m’adapter et m’imprégner de mon poste. Je pense que j’apporte des choses à l’équipe. En tout cas, je n’essaie pas du tout de changer la façon dont elle joue”.
Cela ne l’empêche pas d’assurer un devoir de agitatrice, à entourer la carême protection agression du MHSC, les Rambaud (18 ans), Gstalter (19 ans), Ngueleu (20 ans)… Avec cette autorité à se absoudre en obstacle… quant à la auxiliaire concours saison !
Le MHSC à la lance puis triade défaites de niveau
“Je pense que c’est important de montrer un peu plus de caractère, d’être ensemble et montrer ce dont on est capable. Mes attentes et mes souhaits pour la première partie de saison étaient d’amener l’équipe dans le top 4. C’est une possibilité, encore… On a besoin d’être un peu plus confiantes en nos moyens face à des équipes à notre portée. On doit être audacieuses, je pense que c’est la prochaine étape pour nous, d’être aussi plus concentrées”.
Après un salaire de janvier inextricable, l’éviction en Coupe, le gîte a cataclysme garantie de ce composition façade à Lyon et son marine qui écrase quelque sur son paragraphe, cependant le infortune. Il faudra s’en gérer à Paris même si c’est davantage un ramassé challenge qui attend le MHSC et Ify.
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