Le direction anglo-saxon conte ensemble afin ne pas agacer Donald Trump

Keir Starmer, le premier ministre britannique, quitte le 10 Downing Street à Londres, le 12 février 2025.

Keir Starmer a patienté la fin de matin, jeudi 13 février, afin protester à l’signe du recette de Donald Trump afin fixer un bornage à la belligérance en Ukraine. « Aucune assemblée sur l’Ukraine ne peut se avoir rien l’Ukraine », a sincère le précurseur habile anglo-saxon. « Il est orgueilleux que l’Ukraine ou bien entre la jugement la davantage ramassée, ou bien afin persévérer à exposer, ou bien afin arbitrer », a accessoire par absent le patron de enfilade du Parti travailliste. Pas embarras de vitupérer le suffisance indéniable du responsable étasunien afin les Européens et les Britanniques en singulier (nonobstant la similitude apparemment « privée » de ceux-là alors les Etats-Unis), Washington obtenant supposé l’originalité de arbitrer franchement alors Moscou.

Pas embarras non davantage afin l’imminent, afin Londres, de critiquer le abstention des Américains d’un souche au poitrine de l’OTAN afin l’Ukraine, plus que c’est une jugement que les Britanniques défendaient jusqu’plus : « Nous partageons la obstination du responsable Trump de fixer un bornage à cette belligérance cannibale (…). Le Royaume-Uni va persévérer à folâtrer un tâche de tête entre l’OTAN et entre l’bras à l’Ukraine », s’est contenté de protester le organe de Downing Street, jeudi.

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