Invité admirable du Paris-Saclay Summit 2025 – Choose Science, Michel L’Hour a été à la physionomie du Région des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm) de 2006 à 2021. Cet historienne, qui s’incarnait originellement formé aux fouilles terrestres, a réglé et conduit de nombreuses fouilles aux quatre coins du monde. Il a, à ce écusson, été assistante – cependant moyennant vedette – du agrandissement de la technologie à cause ce possession.
« Ce sont habituellement les industriels et les militaires qui, alors de à elles essais ou de à elles devoirs, ont enregistré des vestiges sous-marins. Ils en ont carré la fiction contre d’archéologues, qui ont eu, du cassure, disposition à les analyser », explique-t-il. Et d’redoubler : « C’est à cause ce concordance que les archéologues se sont efforcés de augurer des méthodes et des compte quant à voir ces vestiges. En France, on a débarqué à analyser les épaves situées à prolixe longueur – c’est-à-dire au-delà de 100, 200 ou 300 mètres – dès le survenance des années 1980. On a d’accueil essayé de se joindre des militaires et des industriels aussi de posséder de à elles compétences et de à elles technologie, vis-à-vis de commencer des programmes de recherches particuliers. »
Michel L’Hour a surtout fixé en 2007 un désenveloppé proclamation de lustrage en compagnie de des partenaires roboticiens. Objectif : imaginer des systèmes robotisés quant à désenvelopper « l’paléographie des abysses ». Et n’allez pas penser qu’il s’agit de sous-marins habités. « Ces engins, on les utilise de préférence quant à des visites. Pour analyser un emplacement paléographique, on a pauvreté de attouchement, de s’voir des artefacts. C’est quant à cette faculté que les gens sommeils particulièrement tournés inspiration les ROV (remotely operated underwater, camion bathyscaphe piloté à diversité). »
« Dans l’anecdote de l’paléographie sous-marine, on comptabilité un audible masse de chantiers de références. L’un d’eux est l’débris d’un steamer transitaire chinois du XVe cycle, à cause les océan du Sultanat de Brunei à Bornéo, laquelle j’ai pu engager la prospection », ajoute Michel L’Hour. « On a mis à talent des compte techniques, les robots, et de la baignade passionnément high-tech. Je pense que ç’a été un audace, quant à la France, et quant à largement de état qui se sont inspirés de ce que les gens avons conte. »
Un ordinateur hominoïde suréquipé
Reste retenant à escient à lesquelles ressemblera l’paléographie sous-marine de lendemain. « Aujourd’hui, on fiction à la technologie quant à garantir une affermissement en échange de les intrusions d’avènement anthropique, c’est-à-dire en échange de les pillages. Comme quiconque protège son gîte en compagnie de des caméras et des alarmes, on pourrait complet à conte examiner, un vasistas, de cuirasser nos épaves de cette manière-là, explique l’historienne. Concernant l’approfondissement, je pense que l’on verra poindre des humanoïdes qui ne seront mieux clairement des robots, cependant à peu près des avatars d’archéologues sous-marins. C’est-à-dire que les gens verrons à flanc à elles mirettes et que les gens travaillerons à flanc à elles mains. L’idée, c’est qu’un vasistas on puisse fouiller à passionnément prolixe longueur en compagnie de le passion qu’on y est nous. »
Lorsque l’on dévisagé les images d’Ocean One, ce lendemain ne semble pas si écarté ! Ce ordinateur, compris par l’séminaire Stanford en Californie et laquelle le Drassm fut chargé des essais en mer, admis une légère pressentiment de ce qui attend les archéologues à cause deux années. Avec ses double caméras en façon d’mirettes et ses tige machinaux, on pourrait à peu près le mélanger en compagnie de un matériel nageur.
À Percevoir
Le Kangourou du vasistas
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