
“La situation s’aggrave”, déplore Christophe Robert, le messager ordinaire de la Fondation afin le Logement des Défavorisés (ex-Fondation Abbé Pierre) – qui préavis mardi 4 février, son 30e similitude annal.
Selon lui, “cette année encore, les indicateurs sont au rouge” : 2024 a été calligraphiée par “une grande instabilité” pour qu’un “attentisme et une passivité gouvernementale”, verso “une période de sept mois sans ministre du Logement en mesure de prendre des décisions”. Quant à l’période 2025, “elle débute d’une façon très inquiétante, puisqu’on assiste à une explosion du nombre de territoires et de catégories sociales touchés concernant la crise de l’habitat”.
Les huit traitement où se sont multipliées les accusations de sévices sexuelles visant son positif, l’higoumène Pierre, ont en injuste beaucoup déstabilisé la Fondation. “On observe une baisse de 30 % des dons” , donc que “97 % des ressources de la Fondation proviennent de la générosité du public – dons, legs, assurances vies, etc.” Mais bordereau attaché des “chiffres alarmants” du examen, “pas question de lâcher et d’abandonner les plus fragiles”, ajoute-t-il.
À se référer à de ce faitPourquoi l’Conclusion envoie des sans-abris parisiens en régions
“2024, année des tristes records”
Le similitude de 342 pages relate “une année 2024, des tristes records”, verso le “décès de 735 personnes mortes dans la rue – un record en douze ans”. Cette même période, la Fondation compté à 350 000 le abondance de êtres sinon habitation, en fermenté de 145 % depuis douze ans, et à 4,2 millions le abondance de êtres mal logées existant là-dedans des situation difficiles.
La building de logements a beaucoup chuté : l’construction de 260 000 logements a été jetée en 2024, pour 435 000 en 2017. Le refuge communautaire est puisque en baisse, verso mais 86 000 logements construits en 2024, pour 124 000 en 2016. Ce sont les pires chiffres depuis 20 ans.
Cela a une impact spontanée sur les maîtrises d’logement des coeurs d’accueil : 5 000 à 8 000 êtres – lesquels 1 000 à 3 000 poupons – sont tout brunante refoulées par le 115 – chiffre d’excitation de pension métropolitain – impropriété de posé en accueil d’obligation. “Les besoins d’aide d’urgence restent colossaux”, déplore Christophe Robert.
Plus de 100 000 êtres existant là-dedans des places de vie informels (squats, bidonvilles) ont par autre part été expulsées en 2024, discordant performance, post-scriptum la Fondation, qui réquisitoire une “posture répressive [du gouvernement, NDLR] vouée à l’échec si elle ne s’attaque pas aux causes”.
Utiliser des bâtiments vides ?
Si “le logement est souvent perçu comme un levier d’économies budgétaires” par les responsables politiques, explique Christophe Robert, il n’en confit pas moins un “impact direct sur le développement de la société française”. “Que ce soit sur la santé, l’éducation ou encore la question environnementale…”, verso par aperçu, “l’importance d’interdire davantage la location de logements considérés comme des passoires énergétiques”.
Le similitude réquisitoire par autre part les pluraux dommages de varlope sur le compte de la adoucissement, rappelant que la fragilité calorique concerne 12 millions de êtres et que 30 % des ménages ont eu constipé là-dedans à elles refuge en 2024.
Le cap du million d’interventions afin impayés a relativement tonalité été croisé “pour la première fois” en 2023, quasiment “deux fois plus qu’en 2020”, verso à la clé des réductions de poigne ou des coupures d’condensation ou de gaz.
Dans un situation de excavation des inégalités, il est aussi tranchant que “les responsables politiques fassent du logement une priorité nationale”, insiste Christophe Robert. Et ce par la provenance de “cellules locales, pilotées par les préfets, pour identifier les bâtiments vides – publics, des collectivités locales, ou des lycées – et proposer des solutions pour mettre à l’abri les personnes sans domicile.”
À engloutir de ce faitSans-abris, migrants… prématurément les JO de Paris, un “nettoyage social” qui s’troussé ?
Avec AFP
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