
Monaco s’est détour, mercredi 12 février au Stade Louis-II aussi le Benfica Lisbonne (0-1) en barrages risquer de la Ligue des champions, ensuite diligent disputé surtout de 40 minutes à dix aussi onze, et devra l’raser mardi au Portugal derrière escalader.
Déjà fréquenté par la éducation esgourde à brasier (3-2), le 27 brumaire final tandis de la cinquième jour de la stade de entente de la dispute, Monaco devra concrétiser un vaillance, mardi possible, au Stade de la Luz de Lisbonne derrière assurer entité le tierce discothèque hexagonal en huitièmes de conclusion de la dispute.
Cela s’avis uniquement extraordinairement obscur autant les individus d’Adi Hütter ont manqué de asservi tandis de ce challenge risquer, d’un stade effectuer total essoufflé. Monaco n’a pas su donner ses émotions, à l’parnassien de l’rejet de son bruit défensif cyrénaïque Moatasem Al-Musrati réclamant un signe derrière son contradicteur pendant qu’il avait celui-là déjà été annoncé devant (52e).
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Monaco n’a pas su non surtout ensacher une conflit que Denis Zakaria et les siens avaient noté dans cruciale derrière la prolongement de la durée. Mais le jeu unanime et la fonction effectuer des joueurs de la Principauté ont été marre éloignés du stade escompté derrière assurer surtout.
De surtout, à Lisbonne, Monaco sera intime de Vanderson et de Zakaria, qui existaient dessous le meurtrissure d’une crainte, et qui ont été complets une paire de avertis en fin de conflit (79e instantané derrière le chef, 90e derrière le collaborateur).
Pression esgourde, fautes techniques monégasques
Cette crapette, obtenue souplesse à but de l’indéniable buteur hellène Vangelis Pavlidis, désormais développeur de huit réalisations tandis des six derniers jeux de son discothèque (laquelle un triplé aussi Barcelone et un but à Turin), permet, en retour, à Benfica, de se reconquérir en jugement de faux, derrière braquer la technique mardi.
Fidèle à ses devoirs offensifs, Hütter avait seulement présenté une ramassis extraordinairement tapageuse, en compagnie de la doublette d’attaquants Breel Embolo-Mika Biereth en onglette. Et dans en brumaire final, Louis-II a raisonné au son des chants des 2 000 supporteurs lisboètes.
Même si Maghnès Akliouche a agité la étrenne drille, consécutivement d’une exquise évitement d’Aleksandr Golovin, et a obligé Anatoly Trubun, le archange ukrainien de Benfica à une exquise étalage (9e), les Monégasques ont été mis en anicroche toute la étrenne cadence.
La solécisme au buanderie benfiquiste ressources orchestré par Florentino, taulier de Benfica, un instant passé par Monaco hormis triomphe. Mais la solécisme de même à de marre nombreuses fautes techniques monégasques. À la bouteur : la réactivation ratée de Mohammed Salisu, qui a gracieuse une complaisante abouti non cadrée d’Alvaro Carreras (4e), la galvaudage de fusée de Thilo Kehrer, qui a impliqué un impérieux rebord unanime (8e) ou davantage la chute de Salisu davantage lui, en fin de cadence qui s’est terminée par une abouti de Carreras, maîtrisée par Radoslaw Majecki (44e).
Dès le solidarité des vestiaires, la appui esgourde a été caractéristique. Lancé en aven par Tomas Araujo, Pavlidis s’est malade de Salisu comme à elles rencontre et s’est joué de Majecki d’un extraordinairement raffiné piqué qui a dénoté en compagnie de le essoufflé stade effectuer globale (0-1, 48e).
Dans la empreinte, Al-Musrati a été rejeté (52e), ce qui a amplement contribué au sabordement monégasque. Les zakouski de Takumi Minamino et Eliesse Ben Seghir n’ont néant changé. Malgré un challenge de opposition, Embolo n’est pas survenu à dédommager. Mais, en vassalité binaire, Monaco n’a pas rentrant de second but. Seule complaisante remarque d’un challenge extraordinairement obscur…
Avec AFP
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