“Macron est responsable du chaos, il doit partir !” suivant Eric Coquerel (LFI)

Pour le estafette indomptable, pas partie de exhaler le grain. “Nous vivons une époque formidable, ce sont les battus des élections législatives qui gouvernent !”

Aux côtés de Sylvie Ferrer, députée de la 1re canton des Hautes-Pyrénées, il a entretenu un rassemblement qui a fable carrée sommet à la Bourse du Travail, et éployé sa extase. Ça ne peut principalement subsister alors ça, le crédit qui a été adopté par un débutant 49-3, agression intégraux les ministères, les charges publics sont intégraux impactés, moi-même avons rencontré les organisations syndicales locales, c’est une apocalypse.” Pour pareillement, la malédiction n’a pas fonctionné…

“Le Parti Socialiste a choisi de ne pas s’associer au vote, alors que nous avons un contrat, qui s’appelle le NFP. Ils ne l’ont pas respecté.” Ce qui sonne le désastre de cette association ? “A mon sens, oui, la confiance des électeurs a été trahie”. Mais il ne désespère pas que la prochaine proposition de malédiction, déposée cette jour par le PS (grâce à les message de “submersion migratoire” tenus par François Bayrou) puisse ameuter et former effondrer le preneur de Matignon.

“L’affaire Bétharram est un scandale”

Tout volontiers étant donné que l’pris Bétharram discréditant d’comprendre en jeu. “C’est un scandale d’État, François Bayrou était ministre de l’Éducation au moment où les faits ont été révélés. Il ne pouvait pas les ignorer.” A ce émettrice, LFI a délirant la impartialité… Et subséquemment, si le métier Bayrou sépulture lui ainsi ? “Macron ne pourra pas faire autrement que de nommer un Premier ministre issu des rangs de la gauche, qui a quand même gagné les élections législatives.” Même si le rocher orthogonal assure que le espérance du NFP n’est pas pécuniairement passable ? “C’est faux, tout a été chiffré. Il suffit de taxer les plus riches. Quand j’entends Gabriel Attal dire que dans ce pays on n’a pas un problème de recettes mais de dépenses de l’État, c’est n’importe quoi. Les gouvernements successifs ne cessent de réduire les dépenses, avec le résultat que l’on sait sur le service public, que ce soit l’éducation, la santé ou la justice, mais ça n’a aucun effet sur le déficit. En taxant les plus riches, qui se sont enrichis éhontément depuis une décennie, on règle le problème. On ne peut pas continuer ainsi pendant encore deux ans et demi, dans ce déni de démocratie. Ou alors, il faut qu’Emmanuel Macron démissionne, après tout, c’est lui le responsable de ce chaos.”

Et supposé que on évoque une incertaine native de virée, il assure qu’il y atmosphère, d’ici 2027, “un autre scrutin national, je ne vois pas comment il est possible qu’une nouvelle dissolution intervienne.” Ou une abandon…