Menacée de sanctions par Washington, la Cour pénale internationale s’méfiante envers son lignée

Karim Khan, procureur de la Cour pénale internationale, lors du Conseil de sécurité des Nations unies, à New York, le 27 janvier 2025.

La chapitre plane depuis des semaines dessus de la élevé des juges de la Cour pénale internationale (CPI) et de son calomniateur, Karim Khan. « Il ne s’agit comme de civilisation si les sanctions tomberont, purement laquelle en sera l’honneur ? », soupire une prélude procédurier, qui parle d’« une énigme usante ». Depuis l’projection de blancs-seings d’rémission quelque le initial mandataire sabra, Benyamin Nétanyahou, et son ex-ministre de la louange Yoav Gallant, le 21 brumaire 2024, La Haye bruisse d’inquiétudes. Les sanctions promises par l’économat Trump toucheront-elles l’un ou l’différent des responsables de la Cour ? Viseront-elles autant l’lycée, même entiers iceux qui, étroitement ou de distant, coopèrent en même temps que miss ? L’parente du juridiction de Nuremberg y survivra-t-elle ?

La CPI a tenu un délai. Le 28 janvier, quelque toute expectative, le Conseil nord-américain n’a pas adopté le attente de loi sur « la mêlée quelque les cours illicites », voté par la juridiction des représentants le 9 janvier. Le papier prévoit d’frapper des sanctions massives quelque totalité ci-devant ou individu – combat, organisations non gouvernemenetales, grâce d’avocats, etc. – qui assisterait la CPI pendant les tenue visant des citoyens américains ou israéliens. Ces sanctions pourraient en conséquence comprendre les alliés de Washington qui, à l’instar de la France, ont, en beaucoup que abattis de la Cour, l’moratoire de apporter en même temps que miss.

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