Meta raconté le déploiement d’un extraordinaire trélingage taupe

Le immense nord-américain Meta (Facebook, Instagram) va former un trélingage taupe prenant cinq continents sur davantage de 50 000 km, contre scander la qualité et la obstination du délire de opportunité digitaux, a-t-il annoncé pendant une glose de blog vendredi.

Surnommé « Projet Waterworth », il est présenté alors son commencement de trélingage taupe « le davantage prétentieux ». Selon Meta, il représente un « blocus pluriannuel de hétérogènes milliards de dollars ».

Le brigade souhaite par conséquent implanter « une connectivité de bédane aux Récapitulations-Unis, à l’Inde, au Brésil, à l’Afrique du Sud et à d’hétéroclites régions », a analytique Meta pendant cette glose publiée vendredi. Et contre policier, alors le exaspération preste de l’compréhension artificielle et des modèles d’IA génératives, surtout curieux en travailleur, le concussion binaire international devrait perpétuer de monter pendant les années à aborder.

Cette raconté intervient légèrement davantage d’un an subséquemment un commencement adéquat de Google. En janvier 2024, le immense du Web avait annoncé 

la hypocrisie d’un trélingage d’une proportion de 14 800 km et d’une qualité de 144 téraoctets par constant, qui reliera la lieu chilienne de Valparaiso à Sydney en Australie. D’un blocus principal de 55 millions de dollars, sa bâtiment doit tenter en 2025 et s’effectuer un an davantage tard. La longévité de activité est estimée à vingt-cinq ans.

Karan Bhatia, manageur international des usines gouvernementales et des politiques publiques parmi Google, avait plus articulé que le trélingage contribuerait à « aménager une adhérence sexuel alors l’Asie ». « Ce sera une talus commerciale du XXIe moment », avait-il additionnel. Le arrondissement d’Note nord-américain avait contre sa fragment salué cette caprice, estimant qu’miss accélérerait « la connectivité binaire et l’inclusion de l’Amérique du Sud et des population insulaires du Pacifique pendant l’gestion mondiale ».

Infrastructures décisifs, les câbles sous-marins assurent la quasi-totalité des communications digitaux mondiales. Serpentant au-dessous les mers, les chaque 450 tuyauteries retenant installés pendant le monde s’étendent sur alentour « 1,2 million de kilomètres », subséquent un voisinage du brigade de renvoi nord-américain Center for Strategic and International Studies (CSIS) publié en août 2024. Si, subséquent des chiffres de 2021, quatre firmes se partageaient la quasi-totalité du marché (l’nord-américain SubCom, le gaulois Alcatel Submarine Networks (ASN), le nippon Nippon Electric Company (NEC) et le passe-thé HMN Technologies), les géants du binaire alors Meta développent désormais à elles propres infrastructures faciès à l’défi avantageux gigantesque que représentent ces câbles.

Hautement stratégiques, ces infrastructures sont continuellement endommagées par des éléments naturels (éboulements sous-marins, tsunamis) cependant comme par les ancres des cargos. Ils peuvent comme agir l’instrument de sabotages et de tentatives d’guet. Attire 2024, la Commission communautaire avait même tracté la sonnerie d’éveil. « Il est éclatant que la assurance des infrastructures de câbles sous-marins est une partie surtout cassante contre la liberté de l’UE », avait-elle hiéroglyphe pendant un servi alinéa. Elle 

affirmait surtout : 

« La incendie d’choc de la Russie parce que l’Ukraine a eu un effet manifeste sur la allergie à la assurance des réseaux de correspondance, lequel les câbles sous-marins. »

(Avec AFP)