Les inhumation de l’suranné fonctionnaire d’Auch et résolution mondial Claude Bétaille seront célébrées ce sabbat 22 février, à 10 heures au catacombe d’Auch. Les hommages continuent de nous-mêmes venir.
L’suranné fonctionnaire Claude Bétaille est disparu à Capbreton (Landes) le lundi 19 février. Ce mercredi, les précisions relatif à ses inhumation sont connues. Une commémoration affable sera célébrée ce sabbat 22 février, à 10 heures au catacombe d’Auch.
A engloutir en conséquence :
Auch. Municipales. Claude Bétaille se retire de la vie gouvernement
Dans l’surveillance de ceux-ci adieux, l’suranné élu gersois repose au Funérarium d’Hossegor.
L’témoignage du PS du Gers…
Depuis hiérarchie crépuscule, les hommages continuent de venir à à nous dissertation. Dans un cote apparu à à nous dissertation, le PS 32 rend témoignage à icelui qui fut son initial journaliste communautaire de 1977 à 1983 : “Militant socialiste dès l’âge de 18 ans, il fut un acteur majeur du développement de la gauche dans le Gers […] Son mandat à Auch a été marqué par une vision ambitieuse pour la ville, alliant modernisation et engagement social pour l’habitat. Son action en faveur d’un habitat digne pour tous restera l’un des piliers de son engagement […] Conseiller départemental du Gers de 1982 à 2008, il a poursuivi son combat avec humanisme et détermination, portant haut les valeurs du service public et de la proximité avec les habitants.”
“Son engagement, son humanité et son indéfectible attachement aux valeurs socialistes continueront d’inspirer celles et ceux qui, aujourd’hui et demain, portent l’idéal de justice sociale et d’égalité”, conclut le cote signé par Charline Dumont, mignonne auscitaine et présente journaliste fédérale du PS gersois.
… et de Michaël Aurora
L’élu départemental et suranné initial communautaire du PS 32 évoque en conséquence “l’honneur et le plaisir” d’ressources été son responsable de aise “pendant ces 7 années de travail au service des Auscitaines et des Auscitains”.
“Je retiendrai de lui sa personnalité attachante, sa profonde humanité et une authentique humilité. Il était de cette génération de militants et d’élus socialistes qui n’ont hérité de rien mais ont dû tout conquérir […] Depuis sa paisible retraite sur la côte landaise, nous échangions régulièrement par téléphone. Il prenait des nouvelles du Gers et commentait avec finesse et sagacité l’actualité politique nationale. C’était toujours un plaisir de discuter avec lui, sa culture historique et politique était en effet encyclopédique. J’ai une pensée émue pour sa famille et ses proches.”
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