
Ce vendredi 14 février, Jacques Gallet élu au briefing communal de Montréjeau a annoncé son réserve de postuler le canapé de juge en 2026.
Aujourd’hui c’est commun, c’est envers Pascal Perpignan que l’subsidiaire au juge sarisse sa glèbe. Si les double élus préparent les élections, ils ne sont pas moins motivés pour à eux évangélisation envers l’régulière mairie.
Le duo a cordial sa drapeau quant à Montréjeau le 14 février, ajour de la Saint-Valentin, “j’ai trouvé que cette date était bien choisie et correspondait avec le titre de la liste ‘‘Aimer Montréjeau’’ que j’ai décidé de conduire lors des élections municipales de 2026.”
Une ténacité posément maxime que Jacqques Gallet prescrit : “Certains penseront que c’est trop tôt. Il n’est jamais trop tôt pour relever les défis, il faut du temps pour construire un projet réfléchi issu d’un dialogue avec les Montréjeaulais. Cette candidature, […] je la fais avec énergie et envie, l’envie de faire les choses avec les Montréjeaulais. Élu de cette ville depuis 2014, je suis allé à la rencontre des gens, j’ai entendu et compris les attentes et les mécontentements, j’ai compris ce que les habitants attendent de leurs élus”.
Évoquant les revendications des Montréjeaulais, le évolution inspirant considéré qu’ “ils veulent des élus qui habitent au quotidien à leur côté dans la ville. Ils veulent des élus de proximité, proches d’eux, accessibles tout au long du mandat. Des élus qui rassemblent, qui fédèrent autour d’une vision de la ville. Aujourd’hui les habitants n’ont pas besoin de bataille d’ego surdimensionnés, les gens ont besoin de sérénité”.
Rassembler et allier
Durant cette liminaire de demande, Jacques Gallet s’est confié sur sa arrivée de la occupation de chef intérimaire. “Les différentes fonctions que j’ai exercées comme conseiller général, adjoint au maire, assistant parlementaire m’ont permis d’avoir une vision précise des enjeux de notre commune. Ma candidature n’a pas vocation à satisfaire une ambition personnelle mais vise à rassembler au-delà des étiquettes politiques, je ne suis pas un homme d’appareil, je souhaite conduire une liste citoyenne, la politique est trop souvent un frein à la vie des gens”.
Au cœur de la future glèbe de Jacques Gallet: les Montréjeaulais et essentiellement la assiduité profonde d’hasarder au mitoyenneté de tout locataire. “Je suis plus que jamais déterminé à m’occuper des Montréjeaulais, rue par rue, maison par maison. Montréjeau n’est ni un héritage, ni une rente. Les enjeux sont nombreux et passionnants, Je suis prêt à les relever. J’ai entendu les besoins de sincérité et l’envie de renouvellement. Nous sommes prêts avec mes colistiers à Aimer Montréjeau ! Le moment est venu d’écrire une nouvelle page. !”
Serge et Alain Mas
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