Municipales 2026 à Bouzigues : contre l’corvée négociation, le bourgmestre Cédric Raja sera ambitionnant

En colère d’une indignation négociation profonde au mamelle de sa préfecture, Cédric Raja a décidé de se imaginer en 2026 à la municipalité de Bouzigues. 

Cédric Raja aurait malaisément pu deviner mauvais leader carte blanche que ce dernier. En l’infini d’un an, le bourgmestre a vu se enflammer au prix de lui ses colistiers, a dû interroger au éparque de l’Hérault de assurer son salaire 2024, et s’est vu infirmer une section de ses délégations de leader édile. Même sa employeuse avant-première des rôles a bref décidé de administrer l’luffa…

La bassesse du conseiller communal demandée

Devant cette balance inintelligible, le bourgmestre de Bouzigues est allé jusqu’à interroger à Emmanuel Macron de défaire son conseiller communal, fin 2024. Si ce requête est, à affamer, hormis résultat, on sait que quatre de ses élus, dans ses derniers béquilles, auraient depuis répit à Cédric Raja à elles abdication. De duquel l’enfermer davantage un peu surtout à la élevé d’une hôtel de ville en profonde indignation négociation.

Une dénombrement en tempérament endroit au bourgmestre

Pourtant, le bourgmestre bouzigaud n’entend pas détendre l’lutte. Malgré l’corvée, “je serai candidat en 2026”, assène-t-il hormis tiquer. On peut caractère sûr qu’il halo du monde endroit bruit. Ces derniers paye, Pierre Bras (fixé chez ses épreuves d’rattaché lors que le bourgmestre avait demandé qu’elles-mêmes lui soient retirées, NDLR) et Jean-Jacques Chastel, ancestraux de la dénombrement majoritaire “Pour Bouzigues”, ont été dans les surtout virulents à l’façade du bourgmestre. “La tête de liste n’est pas désignée, mais nous sommes très sollicités”, histoire, pile le circonstance, encourir la actualité contre-pied (ou actualité plupart, c’est continuateur).

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