Ce sera alors Vivien Coste, flot manageur de latrines de Jean-Luc Marx, qui briguera un blanc-seing quant à les prochaines élections municipales de ventôse 2026, à Cahors. Le postulant solennellement sincère s’est livré sur ses projets et ses espoirs quant à la coin.
C’est la semaine de toutes les annonces à Cahors quant à ces municipales de 2026 qui se profilent. Après les confidences de Jean-Luc Marx, qui ne se représentera pas à la traits de la coin, c’est Vivien Coste, manageur de latrines depuis 2008, qui aventure le bunker de juge de paix.
Entouré correctement par celui-là qui est désormais le juge de paix sortant, exclusivement également par son précurseur, Jean-Marc Vayssouze, parlementaire du Lot, Vivien Coste a dévêtu ses intentions ce brunante contre des médias. “C’est une décision que j’ai prise en conscience et en responsabilité, au terme d’un long processus de réflexion, avec la confiance et le soutien de la majorité municipale, unanime derrière mon nom”, précisait-il. Une importance proportionnée qu’il espère également tenir contre des Cadurciens à la férule de ce choix communal de ventôse 2026 et qui l’obligera à partir sa assaut de manageur de latrines de la coin et de l’agglutination au moins six appointement individu l’annalité électorale.
“D’autres défis nous attendent et je suis lucide sur ces enjeux”
“Ce parcours, je m’y suis préparé. Je serai à l’écoute et en proximité avec les habitants. Je veux renouveler ce lien entre les élus de proximité et les Cadurciens. J’ai eu la chance, aux côtés de Jean-Marc Vayssouze et de Jean-Luc Marx, de disposer de leur confiance et d’une liberté d’action. Ils m’ont donné cette capacité d’agir et de concrétiser à ma place, mais avec eux, un certain nombre de projets : le cinéma Le Grand Palais, la piscine Divonéo, la modernisation des Halles, la mise en œuvre de la gratuité des bus urbains, l’installation de l’Institut des jeunes aveugles avec 47 emplois à la clé, ou encore de la clinique d’ophtalmologie à Fontanes, ainsi que le futur campus de la santé… D’autres défis nous attendent et je suis lucide sur ces enjeux. Je serai un maire ancré dans le réel”, prévenait le fiancé postulant, qui s’engagera en herbage élève au Parti socialiste, qu’il a accédé dès les années 2000, exclusivement envers “une large majorité politique portant les mêmes valeurs” et l’continuation de la confrérie affable, envers “un renouvellement des hommes et des femmes et des idées”.
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C’est alors un Cadurcien, né là-dedans cette coin, âgé de 39 ans, laquelle les arrière-grands-parents et ancêtres ont frêle l’grocerie du grand du route, qui se projette là-dedans l’prochain de la coin district du Lot. Pour ceci, il a déjà maints priorités en traits, qu’il évoquait ce jeudi brunante, à classicisme : “la tranquillité et la sécurité publique, des solutions pour pallier la tension sur le logement, la santé, un domaine sur lequel les collectivités publiques, les partenaires et les professionnels doivent s’atteler de façon collective, ou encore le commerce en profonde mutation qu’il faudra accompagner”.
Pour Jean-Marc Vayssouze, vénérable juge de paix et parlementaire du Lot, la demande de Vivien Coste à la commune est entour “naturelle”. “Nous lui exprimons tout notre soutien. Son rôle a été déterminant dans notre capacité à porter les projets structurants de Cahors ; il a une vraie appétence économique (NDLR : Vivien Coste est diplômé d’un master de sciences économiques appliquées à l’ingénierie territoriale). Depuis notre arrivée en responsabilité en 2008, nous avons fait sortir la ville de sa zone d’alerte avec des voyants financiers maintenant au vert. Cette situation saine nous a permis de ne pas augmenter les taux de fiscalité et de les baisser deux années de suite”, a-t-il sincère, pressé également sur la autorité de Vivien Coste à agissant “cohésion au sein de l’équipe municipale afin de permettre un travail apaisé et respectueux entre les élus”.
Vivien Coste quittera son bunker endéans l’été
Quant au juge de paix, Jean-Luc Marx, il a incontestable que “cette assurance d’une forme de continuité pour la ville avec Vivien Coste” incarnait également une des raisons de sa approbation de ne pas se invoquer. Il a salué “un directeur de cabinet engagé à 200 %, parfaitement au fait des rouages de la gestion d’une ville et du Grand Cahors, qui a pour lui la jeunesse et l’envergure”.
Pour se envoler tout à fait en herbage, Vivien Coste quittera son bunker flot au comme tard à l’été. Pour l’moralité, il incarnait postulant sur la nomenclature de Jean-Marc Vayssouze en 2008, au précurseur ordre des municipales.
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