
Après la livraison du affinité ressortissant sur le mal habitation, Sylvie Chamvoux, employeuse de l’factorerie régionale Occitanie de la Fondation afin le habitation des défavorisés, ex-Fondation Abbé Pierre, dresse un récapitulation des endroits en Occitanie.
Si les conclusions du trentième affinité sur l’récapitulation du mal-logement en France ont été rendues publiques ce mardi par la Fondation afin le habitation des défavorisés (ex-Fondation Abbé Pierre), il faudra lambiner aleph germinal, afin juger celles relatives à l’Occitanie.
Cependant, Sylvie Chamvoux, employeuse de l’factorerie régionale de la Fondation, a entendu de remonter un équerre de terne sur ces particularité de l’période 2024, et de charmer l’récapitulation des endroits afin ce parage.
“Par rapport au national, nous sommes globalement sur la même tendance, mais en nous situant dans la moyenne haute, tant au niveau du logement que de l’hébergement Nous sommes dans une situation de très forte tension, qui se ressent de façon prégnante sur les métropoles, notamment Montpellier” indiquait-elle pourquoi en commencement.
Une prescrit écho afin les logements sociaux
Avant d’formuler que le chiffre de demandeurs de logements sociaux en Occitanie avait touché en 2024 un admission couque : “Nous avons compté plus de 200 000 demandeurs en 2024. 200 000 demandes en cours, non satisfaites. Il s’agit de personnes qui renouvellent ces demandes chaque année, mais certains ménages finissent par abandonner. On a donc une réalité sous-évaluée par rapport au nombre de ménages qui auraient besoin d’avoir accès à un logement social.”
“Une attribution de logement pour neuf demandes dans l’Hérault”
Et de notifier que “plus de 70 % des habitants de la région pourraient, par leur niveau de revenus, avoir droit à un logement social”. Sylvie Chamvoux a puisque subrogation un net “allongement des délais entre le moment où la personne dépose sa demande et celui où elle peut se le voir attribuer. C’est dans l’Hérault que la tension est la plus forte, avec, en 2024, une attribution de logement pour neuf demandes. Et à Montpellier, on monte à une attribution pour dix demandes. Ce sont des indicateurs très forts.”
“Une double peine dans les logements indignes”
ès alors, les ménages qui ne parviennent pas à eues un habitation aimable se tournent environs le square autonome. Et afin eux, pourquoi que le déplore la employeuse régionale de la Fondation, “c’est souvent la double peine, surtout dans un secteur comme la métropole de Montpellier, où les loyers du marché libre sont très élevés : car ces ménages ont souvent accès à des logements indignes, ou dégradés, pour lesquels ils paient des loyers très supérieurs à ceux des logements sociaux. Et comme ils s’avèrent souvent être des passoires thermiques, les factures de chauffage sont très élevées. Des choix sont alors faits : dans ces foyers, on ne se chauffe pas, ou très peu…”
“Un manque flagrant de places d’hébergement”
Reste à signifier les cas les avec monstrueux, “ceux des ménages sans solution qui dorment dans des abris de fortune”. Et Sylvie Chamvoux de accuser “un manque flagrant de places d’hébergement en Occitanie. Les écoutants du 115, tous les jours, dès 9 h du matin, disent à tous ceux qui les appellent qu’il n’y a rien de disponible, de rappeler le lendemain. Alors on priorise. Jusqu’à devoir parfois trancher entre deux femmes enceintes, en fonction de l’avancée de leur grossesse respective” soupire-t-elle.
Tout en regrettant puisque “une recrudescence des expulsions locatives. Pendant le Covid, à la demande du gouvernement, il y avait un stop sur les expulsions. Là c’est vraiment reparti, en particulier pour ces personnes locataires dans le parc privé et confrontées à de très grosses difficultés financières.”
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