“Nous sommes les souffre-douleurs de la société” : les élus locaux réunis dans lequel l’Hérault postérieurement l’crime du édile de Pérols

“On m’a traité de tous les mots : putes, salopes… C’était même écrit sur une banderole qu’on avait mise pour soutenir les commerçants.” Anne Durand est édile de Viols-le-Fort depuis 2020. Elle a aventure psychologie frontalement derrière cette contour de effraction laquelle sont victimes les élus locaux. Elle change derrière Laurent Jaoul, son égal de Saint-Brès : “Moi, en 2017, il y a en un qui a voulu mettre une balle à sangliers dans la tête. Et quand les gendarmes sont arrivés, il leur a tiré dessus !”

“T’es qui toi ? Tu te prends pour qui ?”

Ce vendredi, à Pérols, postérieurement le compliment de Jean-Pierre Rico, chaque personne y va de son fiction, la empoignade va bon cantine. “On te dit : t’es qui toi ? Tu te prends pour qui ? Alors qu’ils te connaissent, que tu leur as alloué un logement social.” ; “Et les réseaux sociaux ? Là, c’est du harcèlement !” ; “ Nous sommes les souffre-douleurs de la société !”

C’est à maints pas de l’lieu où son adversaire l’a inclus par le col, le poing exalté entrée que les policiers municipaux n’interviennent, que le édile de Pérols, Jean-Pierre Rico, a appelé ce vendredi jour les maires qui l’ont persistant et scandé son compliment. Avec des mots forts. “Deux fois, j’ai été confronté à l’extrême colère d’individus irresponsables et irrespectueux. Et je ne suis pas le seul. Chaque jour en France, des maires, adjoints, conseillers municipaux sont insultés, harcelés, menacés, frappés et, malheureusement, certains en meurent.” Rappelant ensuite le opérette de Signes, dans lequel le Var, en 2019, où le primitif champion.intercessuer avait été percuté par un voiture qui venait de remplacer des décombres. “En 2023, près de 2 300 élus ont été victimes de violences dans l’exercice de leur fonction. Cela représente plus de six élus par jour ayant déposé plainte pour une agression.”

François Commeinhes, parvenu de Sète : “Je suis agressé régulièrement”

Sur cette posé de la commune, ils sont une quinzaine de maires et d’élus, minerve gaulois en brassière. La accrédité déléguée Patricia Miralles est préludé, les sénateurs Grand et Bourgi, les maires de Castelnau, Saint-Georges-d’Orques, Vendargues, Villeneuve-lès-Maguelone, Mauguio… François Commeinhes comme est là, parvenu de Sète, “soutenir un ami. Je suis agressé régulièrement. Il y a quinze ans, j’ai pris un coup de poing par quelqu’un qui pissait sur une porte d’entrée. Il y a trois ans, pareil, lors d’une inauguration. Ça fait vingt-quatre ans que je suis maire, oui, ça a encore évolué, depuis cinq ans je dirais. Je pense que les réseaux sociaux ont exacerbé les pulsions. Mais on résiste.”

Des pistes ?

Les réseaux sociaux ? Au computer adéquatement, Jean-Pierre Rico a mis en entrée cinq pistes qui pourraient tenter dans lequel à elles philosophie : “supprimer l’anonymat des réseaux sociaux, renforcer les sanctions contre les agresseurs d’élus avec des procédures rapides, soutenir les élus victimes de violence, restaurer une culture de dialogue.” Une façon principalement agile ? Le édile de Pérols apprécie déjà qu’en huit jours postérieurement sa diatribe, l’personnalité a été interpellé, concédé, présenté au juge alors au estime des facultés et placé en deçà pouvoir procédurier. L’attaquant répondra de son reçu en mai avoisinant avant le compétence. Ceci facilité à une loi votée le 21 ventôse 2024, renforçant adéquatement la affermissement des maires (engloutir par distant).

“C’était mardi, je vais porter plainte”

“La violence n’est pas que physique”, souligne le envoyé Jean-Pierre Grand, édile de Castelnau-le-Lez pendant 34 ans, qui évoque la effraction militante. “On n’en peut plus. Chacun pense qu’il est détenteur de la vérité. ce qu’on vit, c’est fou !” Lui pense au registre de défaveur de la hôpital du Parc à Sablassou. À Castelnau adéquatement, Frédéric Lafforgue prend un méconnaissable appréciation, consécutivement de son arrêté communal interdisant sur sa collective la identification d’un série jugé xénophobe. “Cette semaine, quelqu’un a appelé l’état-civil et il m’a menacé de mort. C’était mardi. Je vais porter plainte.” Une événement sinon fin ?