Nuit de la correspondance : alors de 3 500 hommes rien logis cramponné ont été recensées à Paris

A Paris, le 7 février 2025.

Paris mesuré 3 507 hommes rien logis cramponné, en ce apparition d’cycle 2025, disciple un répertoire terminé donc de la dernière Nuit de la correspondance, le 23 janvier, a annoncé la Ville, mercredi 12 février. Ce presse est approximativement régulier proportionnellement à celui-ci répertorié l’cycle précédente. En 2024, chaque 3 492 hommes à la rue avaient été recensées à Paris, en développé rallongement proportionnellement à 2023.

A ces milliers de rien logis cramponné à Paris, s’ajoutent 768 hommes pendant lequel les 30 communes du Grand Paris, explicite de son côté la Archidiocèse du Grand Paris, associée à cette ablation, généralité également l’Union nationale des groupes banaux d’procès sociale.

Ces recensements sont effectués donc de Nuit de la correspondance, un mesure annal gouverné pendant lequel le Grand Paris et la métropole par des équipes de volontaires qui sillonnent rues et espaces publics.

En 2025, 14 % sont des femmes

Sur les 3 507 rien logis cramponné, « jouxtant des triade quarts des hommes ont été rencontrées pendant lequel les rues de Paris et un équipe pendant lequel d’différents secteurs », laquelle les colline du imprimante, les campements, les gares et stations de métropolitain, ou surtout les fourré de Boulogne et Vincennes, explicite la Ville, pendant lequel un acte.

Ce nombre n’inclut pourtant pas les 337 jeunes « envahisseur la Gaité-Lyrique » depuis différentes semaines, qui, disciple la Ville de Paris, n’présentaient « pas convenablement en conjoncture de rue ».

Cette cycle, les femmes représentent 14 % des hommes rien logis cramponné, quant à 12 % en 2023, ajoute la Ville, marquant « de alors fortes présences pendant lequel les 10e, 12e, 15e, 18e, 19arrondissements ».

Plus de la milieu (59 %) des hommes rien logis cramponné rencontrées se réalisait seules donc de ce répertoire, qui a eu situation donc de la huitième poésie de la Nuit de la correspondance.

Le Monde alors AFP

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