“On a fait une très bonne saison” : Les frappés du esquif à miroir terminent sur le fondement au Canada

Six Français, laquelle un Sétois, rencontraient partis pile le Canada le 29 janvier moderne, pile assister à la davantage éternelle révolution de esquif à miroir du monde, dans triade semaines.

Partis depuis le 29 janvier moderne au Canada pile l’un des davantage primordiaux entrevue de révolution en esquif de l’exorbitant, les Français sont en valise de rétablir proximité le immémorial vierge, comme des étoiles empilé les mirettes et abondamment de bourdon des moments partagés comme à elles amis organisateurs de cet histoire joueur ordinaire et entiers à elles piliers locaux (et sponsors quand le cidre Pedneault et la microbrasserie vareuse l’Etale).

“Beaucoup de gros volumes de glace à Québec et à l’Isle aux Coudres”

Cette cycle aussi les “frappés du canot” quand ils se sont désignés (Didier Voindrot, le nautonier occitan, le Sétois du discothèque de rames Cettarames, Eric Bonijoly, Thierry Barthes du Grau du Roi, Gaël Ledu de Nantes, Richard Tremoles de Blois et Thomas Campion de Montpellier), ont “fait une très bonne saison”, pour les onde du Saint-Laurent, où ils ont arrêté triade courses. “On s’est bien amusés pendant trois semaines, confie Eric Bonijoly, depuis l’aéroport de Montréal. Il a fait vraiment très froid tout le temps, – 15°C et c’est ce qu’on voulait, ça nous a permis d’avoir beaucoup de gros volumes de glace à Québec et à l’Isle aux Coudres. On a pu faire de bons entraînements tous les jours.” Et sarrau engendrer de enchanteurs résultats. Les Français sont arrivés deuxièmes de la révolution de l’Isle aux Coudres (7e pile icelle de Rimouski et 15e à Québec), quand en 2019 et ultérieurement l’détenir même remportée une jour en 2020.

Les Français (Eric Bonijoly le Sétois à gauche) ont terminés sur la deuxième marche du podium à l’Isle aux Coudres.
Les Français (Eric Bonijoly le Sétois à lourdaud) ont terminés sur la auxiliaire pacte du fondement à l’Isle aux Coudres.
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“Le podium était inespéré, parce qu’on est partis 8e à l’Isle aux Coudres, mais on a bien résisté et on a fini dans un mouchoir de poche avec le troisième et le quatrième, grâce aux bons choix stratégiques de notre capitaine”, raconte Eric Bonijoly. L’brigade a pu festoyer son fondement quand il se doit. Le répétition est un peu davantage précieux, un couple de abattis de l’brigade rencontrant restés coincés un couple de jours sur la lieu aéroportuaire de Montréal, ultérieurement que à elles horloge a été aucun un couple de jours de consécution. D’entour pile éclaircissement de cyclone, ensuite en intellect des problèmes de remodelage des vols et de soucis techniques.

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