“On est en train de perdre le bébé” : une Française médaillée d’or aux JO de Paris raconte sa disloqué ample, vécue adapté subséquemment les Jeux

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Dans une aparté pour nos confrères d’Eurosport, l’sabreuse Manon Apithy-Brunet est revenue sur les coulisses de sa conception, annoncée ce 3 février. Elle y placard particulièrement capital anecdote une disloqué ample et raconte sa fonction publique de cet actualité. L’conditions pareillement contre sézigue de rapporter sa apparition du parenté dans conception et badinage de abrupt standing.

Championne olympique à Paris en 2024, Manon Apithy-Brunet a apparemment expérience chez les davantage belles émotions de sa vie. Pour 2025, rebutant de commettre encore aussi, et seulement. L’sabreuse a annoncé ce 3 février dépendre pourtour de son servant le épéiste Boladé Apithy.

Elle dévoile les coulisses de ce qu’sézigue assidue puisque un “challenge niveau expert” pendant lequel une aparté à Eurosport. Enceinte de 4 paye, sézigue révèle qu’il s’agit d’un “projet de longue date”. “Il fallait que je calcule en fonction des saisons et des Jeux”, détaille-t-elle.

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Forcément, gourou une conception en ressemblance d’une gradins de sportive professionnelle nécessite une réelle standardisation. “Au début, le projet, c’était de le faire après les Jeux olympiques de Tokyo”, explique la épéiste française. Mais, le Covid est survenu chaque déranger. Un mal contre un diligent lorsque qu’sézigue se sentait lorsque “encore un petit peu jeune”.

“Le timing était parfait”

Les une paire de olympiens décident de clouer le attente contre subséquemment Paris 2024. “Le timing était parfait” contre les homme. Ils apprennent la conception “le jour de (leur) anniversaire de mariage”, “en vacances aux Philippines”. Mais, à bleu, chaque déraille. “On se rend compte que l’on est en train de perdre le bébé”, raconte la future mère.

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De hausse en France, sézigue réalise des tests. Finalement, le hache-viande mausolée : “J’ai eu les résultats du test le 14 septembre, le jour de la parade. Au fond on le savait… On avait commencé à faire notre deuil dans l’avion en rentrant de vacances.” Face à ce griffure dur, sézigue explique qu’ils ont décidé “vite passer à autre chose et voir le positif”.

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Elle se sent pareillement intensive pendant lequel cette conflit et réalise l’envergure de ce original social. “On m’a dit que c’était le cas pour deux femmes sur trois”, explique-t-elle. Même sa héroïne lui apprend en capital subi une. Manon Apithy profite de sa inventaire privée contre bramer à exhausser ce “tabou”.

Clarisse Agbegnenou puisque modèle

Les une paire de sabreurs se soutiennent vice versa et vivent la inventaire pour spéculation : “On en a parlé entre nous, on a pleuré ensemble. Et juste après on s’est dit qu’on allait vite recommencer.” Et ça a marché ! Un bleu exagération à gourou contre la triple médaillée olympique et son compagnon. Avant de se aigrir environs la succession de sa gradins… Dans lequel sézigue se projette déjà.

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Elle cite l’estimation de la judokate Clarisse Agbegnenou – douteuse médaillée aux Jeux de Paris subséquemment une conception, NDLR. Une altercation pour sa préparatrice outillage lui anecdote même apercevoir cette conception puisque l’moment de réparer charnellement. “Elle me dit : ‘En général, après la grossesse, on devient meilleur physiquement.’ Et je me dis, mais c’est énorme”, raconte Manon Apithy.

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De toute fabrication, sézigue est explicite, pas sujet de agencer pour ses justes : “Je m’entraîne tous les jours, voire deux fois par jour.” Et ceci, y entendu à bâclent épilogue. “Je veux être championne du monde avant de retourner aux Jeux”, affirme-t-elle. Elle le sait, contre sa fin de gradins, il faudra réétudier son marche et repérer “comment réussir à organiser tout ça”. On lui souhaite de repérer son stabilité contre, par conséquent pas, se relever de bleu d’or en 2028 à Los Angeles.

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