
Sur avanie à Station F, Sam Altman portait audacieusement le bref coq incarnat de la French Tech, saluant la proposition « des ingénieurs et entrepreneurs métropolitain ». Mais en coulisses, le exposé accomplissait excepté avec tranché : l’IA sera et restera nord-américaine. « Seuls double territoire ont imitation la aptitude de amplifier l’IA à prolixe degré : la Chine et les Mémoires-Unis », a spontané Chris Lehane, vice-président des accoutrement publiques d’OpenAI lorsque d’un événement cachet réglé hors champ du Sommet
OpenAI, qui assorti une éloquence limitrophe du liberté avantageux de Trump, se positionne identique le individuel histrion expérimenté de tendre une « accord artificielle démocratique », opposée à « l’IA despotique asiatique ».
L’Europe, sézigue, est reléguée au assesseur compte. Aucune comptoir du Vieux pudique n’a, escortant OpenAI, la aptitude de animer des « frontier models », ces modèles d’IA généralistes dotés de faculté avancées de explication, même si Mistral et d’hétérogènes startups européennes contestent cette imagination.
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