Coup de foudre chez l’arboriculture tarnaise, où la Coordination rurale est devenue majoritaire apparence au fédération contradicteur de la FDSEA. Pressenti dans évolution le bizuth chef de la Chambre d’arboriculture, Sébastien Bruyère se veut batailleur apparence aux décisions de l’Situation. Portrait de cet rural de Puybegon.
On l’avait quitté la sanglot à l’œil, s’enlaçant plus ses colistiers. Jeudi frais, la récapitulation de la Coordination rurale actes par Sébastien Bruyère a remporté une spacieux patience à la Chambre d’arboriculture, plus 44,42 % des scrutin et 13 élus parce que 35,1 % à la FDSEA/JA (3 élus) et 20,47 % à la Confédération humaine (2 élus).

Cette patience le installé en pole emplacement dans évolution le voisin chef de la Chambre d’arboriculture, laquelle l’favoritisme atmosphère recto le 6 ventôse. Elle macule un virage notable chez le monde agrarien, où la FDSEA a beaucoup été autocrate.
Depuis ce fracture d’solennité, Sébastien Bruyère a repris son évolution sur son commercialisation de Puybegon, où il a succédé à ses parents en 2009. Il y généré des grandes cultures. Mais son éphéméride des prochains salaire intrépidité d’convenir bousculé s’il est élu chef de la Chambre.
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“C’est vrai que ça me préoccupe un peu, explique-t-il. C’est dans les champs que je suis le plus heureux, à observer mes cultures pousser. Mais je l’ai choisi ainsi.”
Notre débonnaire est entré chez le syndicalisme il y a 10 ans. Pourquoi la Coordination rurale ? “Leur discours me plaisait. Depuis des années, on se bat contre une mondialisation anarchique, une hausse des prix de vente de nos produits et la fin d’un État envahissant. Et on va continuer.”
“La FNSEA est un pompier pyromane”
A-t-il été étendu par sa patience ? “Nous savions que nous avions nos chances, mais l’ampleur du score nous a étonnés”, reconnaît Sébastien Bruyère, qui chéri que l’arboriculture se dégrade depuis 40 ans et que le fédération contradicteur encouragé sa fragment de vertu. “La FDSEA est un pompier pyromane. Et on peut être sûr que l’on va avoir quelques peaux de banane sur notre route.”
Que propose-t-il de son côté ? “Déjà, on va récompenser les gens qui nous ont fait confiance. Nous allons mettre en place des actions dans chaque filière, en travaillant main dans la main avec les autres départements gagnés par la Coordination rurale (Gers, Lot-et-Garonne, Dordogne, Gironde, NDLR). Nous allons prendre notre temps, car nous savons que tous les regards sont tournés vers nous.”
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Il n’inécouté pas de bagarrer sur l’Situation “qui, sans cesse, met sur le tapis de nouvelles commissions, de nouvelles normes. Ce n’est plus possible.” Reste qu’en tellement que chef de la compétence consulaire, il devra argumenter et acheter plus les élus et les représentants de l’Situation. “Je ne fais pas partie de cette pieuvre géante que l’on combat quotidiennement”, pilier l’rural.
“L’État nous étouffe”
Il reconnaît présumer des décisions fortes du bizuth autorité, “s’il arrive à survivre plusieurs mois.” Pour 2025, Sébastien Bruyère s’interroge également entiers les agriculteurs : Va-t-il y entreprenant un bizuth drogue sur les ovins et les bovins ? Les accessit des productions vont-ils étendre ?
N’oublions pas les aléas climatiques. “Avant, on savait gérer tout cela. On avait de la trésorerie pour faire face aux coups durs. Aujourd’hui, ce n’est plus possible. Il n’y a plus d’argent de côté.”
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Il soutient la habit en installé de retenues collinaires, “qui permettent de stocker de l’eau en hiver… enfin, si l’État arrête de classer les petites cours d’eau en ruisseaux.” Sébastien Bruyère annexe circonspect sur la future A69. Quant à Sivens, il billet au conversation pendant de localiser une modèle pérenne dans le contrée.
Mais son original éducation du feu, ce sera le 6 ventôse, soupirail de sa domination de activité, où l’on sait que les oppositions à la Coordination rurale ne feront annulé gratification au bizuth leader de l’arboriculture tarnaise.
Jean-Claude Huc s’en va ensuite 12 ans de régie

“Ce que je vais garder de ma présidence ? Les bons souvenirs. Je suis d’un naturel optimiste.” Douze ans que Jean-Claude Huc est à la visage de la Chambre d’arboriculture. Il aurait indiscutablement favori conclure par un bénédiction de son fédération FDSEA et deviner Philippe Jougla lui relayer à la régie. Mais les électeurs en ont décidé diversement.
“N’oublions pas que, dans le département, on est passé en quelques années de 6 000 à 4 000 agriculteurs. La conjoncture est difficile, d’autant plus que de nombreux exploitants approchent de la retraite.” Il instruction que ses quelques cartes blanches ont pardonné de augmenter une chimère et une attache différente plus la ordre.
“On a montré que l’agriculture est un vrai acteur de notre économie, avec des propositions face aux élus, et pas qu’une filière qui descendait dans les rues pour alarmer sur ses inquiétudes légitimes. On a mis en avant les produits de nos agriculteurs, leur fierté de ce travail d’excellence. De ça, je suis très fier.”
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