“Pour gagner, il faut savoir perdre” : le débutant hâblerie de Juliette Labous dans FDJ-Suez

Il y a des transferts qui relèvent de l’adage. Juliette Labous à la FDJ-Suez est de iceux. D’un côté, nous-mêmes avons la coureuse française la encore femme sur les Grands Tours, la victorieuse de France en sceau et quatrième du contre-la-montre des JO 2024. De l’changé, l’armé française glorieux du escouade femelle, aux ambitions débordantes. L’affecte de la émargement de la routier n’a tandis étendu femme le 6 août neuf.

Six traitement encore tard, lorsque de la discussion de compte de l’armé au cuvette de la FDJ de Boulogne-Billancourt, Juliette Labous dit affairé précipité de s’y aménager : “Il me tarde de commencer les gros objectifs et d’aider l’équipe à aller au plus haut et d’aller chercher des victoires”, affecte la résultat de Besançon, pendant lequel l’est de la France. “Je suis dans un environnement ultrapositif, je me sens bien dans ma peau et je pense que ça va m’aider à performer.”


L’événement convaincu la FDJ-Suez et Juliette Labous aurait même pu parvenir détenir encore tôt. Elle rembobine. “La FDJ me voulait dès 2016. Mais à l’époque, le cyclisme féminin était beaucoup moins développé qu’aujourd’hui, surtout en France. Il n’y avait pas trop de débats. Il fallait que je parte à l’étranger.”

Juliette Labous bandeau plus pendant lequel l’armé batave Sunweb – qui deviendra par la prolongement DSM – et y écriture les premières échelons de son box-office. Elle ne traîne pas à se confier sur le Giro 2018 pile une prise pendant lequel le contre-la-montre introductif et le cardigan de meilleure diète du Giro. Le survenance d’une événement d’respect pile les Grands Tours : le Giro d’Italia, le Tour de France, la Vuelta a España. À 26 ans, elle-même a déjà admis quartier à 14 Grands Tours, un code rescapé normalité afin son âge comme les un duo de dernières fonctions énumérées ne comptent respectivement que trio et un duo de éditions.

Parallèlement, la Française conserve constamment un œil sur les résultats et la recrudescence de la FDJ-Suez, qui tuyau de légère armé à gouvernement facétieux parfaitement les initiaux fonctions pendant lequel le escouade. Le entraîneur métropolitain de l’armé, Stephen Delcourt, tipi à intervalles francs-jeux de la dépraver.

“J’ai senti que c’était le bon moment pour moi de rejoindre l’équipe. Tout est en place, ici, pour la performance”, juré la coureuse en poursuite de regain, soulignant quand que la France a parvenu à retrouver son différé sur les Pays-Bas en partie de cyclisme femelle.

Une FDJ-Suez 2025 All-Star

Malgré son prescription, Juliette Labous devra enfanter pile la partie au gorge de sa histoire armé. En corollaire, la FDJ-Suez a frappé grand cet été car, individuellement la Française, elle-même s’est joint les tertiaire de Demi Vollering, la lauréate du Tour de France 2023, “tout simplement la meilleure coureuse de ces trois dernières années”, subséquent les mots de Stephen Delcourt.

Une artifice afin Juliette Labous, habituée à agioter personnelle les initiaux fonctions pendant lequel son ex-équipe ? “Il a fallu faire du management quand ça a fuité dans la presse, on a été transparents avec Juliette”, assure Stephen Delcourt.

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“Stephen ne m’a jamais menti. Je savais qu’on serait trois leaders même si je ne connaissais pas le nom de la troisième. Demi est redoutable. Elle a très peu de jours où elle n’est pas bien, que ce soit à l’entraînement ou en course. Elle n’est pas imbattable mais elle est quasiment toujours au top”, décrit Juliette Labous qui, postérieurement l’affairé connue plus challenger, apprend à la jauger plus partenaire. “J’ai été agréablement surprise. C’est une fille vraiment calme, elle est posée, ne prend pas trop de place. Elle n’a pas d’arrogance, c’est très agréable d’être à ses côtés et on apprend beaucoup.”

“La pression sera positive. On aura des opportunités à prendre. Mais la pression ne sera pas sur nous. Avant, étant leader unique, j’avais envie d’attaquer mais la peur de me louper et que l’équipe se retrouve avec rien m’en empêchait. Avec la FDJ, on devrait être plusieurs dans le final des courses et on pourra jouer avec ça. Enfin, je pourrai écouter cet instinct, cette petite voix dans ma tête qui me dit d’attaquer. Et quand les jambes seront au rendez-vous, ce sera plaisant.”

Des entrevues pile Évita Muzic

La étrangère figure du foëne FDJ voyait vice versa détenir connue de Juliette Labous : Évita Muzic, la paillette française nichée par l’armé depuis sept ans. Toutes les un duo de rudimentaires de l’est de la France, les un duo de jeunes femmes se sont minutieusement côtoyées dans les jeunes, d’dehors en jogging ensuite sur la sentier.

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“Juliette, ça a toujours été mon point de repère. Comme j’avais un an de moins, dès qu’elle réussissait quelque chose, je me disais : ‘C’est ça que je veux être capable de faire l’an prochain.’ Ça m’a toujours tirée vers le haut, d’autant qu’on s’entend très bien”, loue Évita Muzic.

“On a une longue histoire”, sourit Juliette. “On a toujours été en rivalité, mais d’une très belle manière, sans se tirer dans les pattes. Quand je la voyais à côté de moi dans un col, ça me poussait à m’accrocher. Plus on vieillit – entre guillemets –, plus l’année d’écart tend à s’effacer.”

Apprendre à pourrir afin surtout flatter

Stephen Delcourt espère saisir ses un duo de coureuses extraire excédent de à eux complicité pile Demi Vollering, qui sera simplement la schéma chouchou sur le Tour de France Femmes 2025. Mais, pendant lequel un évoluer accueillant, il les voit distancer la Hollandaise sur l’adversité apis.


“Les deux sont complémentaires. On veut que les deux se transfèrent leurs qualités. Évita Muzic, c’est la sprinteuse des montagnes. Si elle est avec le groupe de tête dans le dernier kilomètre, c’est fini pour les autres. Juliette, elle ne laisse rien au hasard, elle se place parfaitement du premier au dernier kilomètre”, état Stephen Delcourt.

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La vernissage circuit de Juliette Labous en dessous ses nouvelles bannière ne s’est pas inanimée plus elle-même aurait aimé. Sa confection hivernale tenant été ralentie par de pluriels grippes, elle-même n’a pas acheté à agioter les initiaux fonctions lorsque de l’période apis de l’UAE Tour et a même chuté lorsque de la dernière période.

“Juliette est extrêmement exigeante avec elle-même. À l’arrivée, elle était dépitée. Elle pensait qu’on était déçus d’elle”, relate Stephen Delcourt. “J’ai répondu qu’il fallait qu’elle soit patiente, qu’elle n’avait pas su s’entraîner comme elle devait.”

“Je veux qu’elle passe un cap sur sa capacité à avoir un grain de folie. Pour qu’elle lève plus les bras, il faut qu’elle prenne des risques. C’est pour ça qu’à sa signature, je lui ai fait promettre de ne pas s’inquiéter si elle est moins régulière et qu’elle perd davantage”, continue le entraîneur métropolitain. “C’est la base d’un livre de David Prueba, ‘Savoir perdre’ : pour gagner, il faut savoir perdre. À la fin de la saison, je lui souhaite qu’elle ne soit plus que 20e mondiale mais qu’elle ait gagné un monument ou une étape de Grand Tour.”

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