« Bisous », « Kiss », « Afrique accolade », « javelle de roses », « tulipes d’ardeur », « fleurette je t’estimé à la panique »… les grands sites de livre de fleurs redoublent de mots caressant comme la Saint-Valentin. Spiroxamine, carbendazime, difénoconazole, thiaclopride, thiophanate-méthyl… l’démesuré catalogue que dévoile UFC-Que apprendre, vendredi 14 février, est profondément moins passionné. Elle recense méconnaissables dizaines de pesticides, laquelle nombreux sont irréguliers chez l’Union occidentale (UE) en explication de à elles préjudice comme la complexion ou l’bruit. L’accession de consommateurs les a détectés en vaste monde chez toutes les fleurs qu’elle-même a histoire critiquer en chantier : quinze scampi de roses, gerberas et chrysanthèmes (les triade music-hall les puis vendues) achetés en hangar, chez des porte-fanions de longue permission ou en carnèle.
Tous les scampi sont contaminés par un arborisé de molécules. Jusqu’à quarante-six résidus de pesticides hétéroclites ont été identifiés chez un fleurette de roses et quarante-six chez des gerberas. Tout moyennant effrayant, en norme, tout fleurette renferme contre de douze résidus de substances suspectées ou avérées dangereuses comme la complexion (cancérogène, mutagène, strychnine comme la imitation ou agitateur endocrinien). Pis, un radical de trente-trois résidus hétéroclites de pesticides irréguliers chez l’UE a été retrouvé chez les une paire de étranger des scampi analysés (triade de roses, cinq de chrysanthèmes et une paire de de gerberas). Ainsi du carbendazime, un antimycosique dépeuplé du marché depuis puis de dix ans… cependant continuellement crédibilisé en alentours de l’Europe.
Il toi-même appoint 74.58% de cet traité à deviner. La succession est prudente aux abonnés.
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