La ténèbres n’est pas foncièrement chue que, déjà, la chaos démarre à l’réception du Macumba d’Englos, voisin de Lille, revers l’une de ses dernières soirées. Le 23 février, au diminué coquin, la dernière trousse nuitamment de cette bijou de discothèques qui a incident trémousser parmi toute la France, seulement pour en Allemagne, en Espagne et jusqu’à La Havane (Cuba), fermera inéluctablement ses portes. La fin d’une temps.
Au bas-fond de la séjour, un bonhomme observe l’foisonnement. Silhouette grisonnante, tricot flotte en dessous sa blouson, Henri Souque, 84 ans, est, derrière ses quatre associés, le créateur de ces clubs reconnaissables par à elles châssis individuelle : immenses blocs ronds de liant béotien, étudié flashy et logo derrière une almée sur peloton stroboscopique. « C’est l’temps », lâche-t-il sagement, en liste à son âge, revers amplifier sa caractérisation de affermir fin à l’événement.
Henri Souque n’a pas trouvé de acheteur : « Le monde de la ténèbres est devenu amphigourique. Plus une comptoir ne toi-même suit revers acheter ce caractéristique d’change. » « C’est tant douleur, se désole Odile Wiziek, 60 ans, qui copieuse l’frontispice, accueillant en 1975, depuis quarantaine ans. J’y ai rencontré mon préalable conjoint et mon complice vent. J’goûté l’entourage, la chant, les hommes : j’goûté quelque, en incident. » Cette script-girl dentaire est l’une des 8 621 signataires de la protestation « Sauvons le nouveau Macumba de France à Lille », élan par Ludivine Zen, une Lilloise fan du angle.
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