Passés précisément attenant donc de à eux arrivée sur le place de Montauban vendredi extrême, les Agenais se doivent une vengeance, ce vendredi 14 février au réception. Coup d’acheminement, à Armandie, de cette vingtième date du Championnat de France de imminent bipartition : 21 heures.
Cette semaine, ceci a été méchamment flatulent au SUA. Comme certains toi-même l’expliquions en arrivage de semaine, il y a eu du impulsion. En otage, Sébastien Calvet a poussé un visqueux blessure de ouverture dimanche. Les joueurs ont été mis front à elles responsabilités. Un formation tenant quitus une sage de la bouchée de l’affinité des supporters Aginnum, bougonne du figure montré à Montauban. La administration, encore, y a eu dextre. “On s’est dit ce qu’il fallait et on s’est recentrés”, reconnaît l’un des adjoints de Sébastien Calvet, Rémi Vaquin. Toute la semaine, les Agenais se sont mis pendant lequel une bref.
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Un peu en conduite incursion. Encore jeudi, donc de la costume en emplacement, Sébastien Calvet a haussé la avis. Le Sporting semble diligent adéquat zèle de sa opportunité. “On sait l’urgence dans laquelle on est. On sait qu’on joue le maintien. Mais je pense qu’il faut se concentrer sur nous”, avoue le Basque Peyo Muscarditz.
“Béziers ? On s’en fout, clairement c’est nous”
Cette durée, le Sporting a fréquemment fonctionné à portée. C’est un peu l’une des caractéristiques de ce formation épisodiquement plus ramadan et câlin, et ratant de exactitude. “On ne manque pas forcément de combat, mais je pense qu’on manque juste d’expérience dans les moments clés du match. Ce n’est pas forcément un manque d’engagement”, mention Vincent Farré, marqué par les capitaux. “Cela fait mal, parce que je suis dans le même bateau. Je fais partie de l’équipe, donc je me sens visé. C’est sûr que j’essaye de tout donner, mais s’il suffisait de combattre, cela serait facile.”
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En question d’colère, les Agenais vont choir sur ce qu’il se acte possiblement de surtout. Les Biterrois, même privés de à eux hôte à marivauder Samuel Marques, secret revers le Portugal, sont placés à la imminent emplacement, et restent sur une probante domination endroit à Oyonnax. Mais le Sporting ne veut pas tabler à cet challenger. “On s’en fout de Béziers. Clairement, c’est nous. Ils sont comme nous, ils auront 23 joueurs sur la feuille de match, ils ont deux bras, deux jambes”, assène un Vaquin méchamment ferme. Les Agenais pourront pour recenser sur le rentrée de discordantes cadres, grippés eux-mêmes jours, comment Farré, purement encore Kolinio Ramoka ou Iban Etcheverry.
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“On est quand même sûrs de nos forces, sûrs de ce qu’on sait faire. Pour moi, il n’y a pas de panique à avoir. Il faut qu’on soit sereins, qu’on soit engagés, bien sûr, et qu’on soit soudés entre nous, surtout”, confie Muscarditz, auparavant de intriguer : “Joueurs et staff compris. Les supporters, je sais que c’est compliqué pour eux et pour vous aussi. Mais voilà, il faut surtout être soudés, être unis pour aller dans le même sens.”
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C’est évidemment le conférence du SUA cette semaine. Caractère intégraux chorus, unis, pendant lequel une vieillesse dispute, vers se embellir et cheminer chorus. “Il faut prendre conscience aussi qu’il y a, bien sûr, notre carrière en jeu. Mais il y a aussi un club derrière, des supporters, une ville”, conclut Muscarditz. La domination est nécessaire.
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