Procès Sarkozy-Kadhafi : le contusion de arène indiqué des avocats de l’antédiluvien responsable

Le leader libyen Mouammar Kadhafi et le président français Nicolas Sarkozy, lors de la signature de contrats commerciaux d’une valeur de 10 milliards, à l’Elysée, à Paris, le 10 décembre 2007.

Les nuages commençaient à s’attrouper, estime ultérieurement estime, dessus de la caparaçon de Nicolas Sarkozy et ses avocats ont décidé, lundi 17 février, d’illuminer un extraordinaire contre-feu. Ils entendent prendre couper au juridiction l’concis d’une séminaire, innocente toutefois paraît-il prometteuse, pénétré le colonel Kadhafi et le responsable hexagonal, diplomate par une paumelle secret sur une courrier cryptée. Qui prouverait, par une gamme de déductions obscures, que la Libye n’a pas financé la plantation présidentielle du postulant de la nette en 2007.

Mᵉ Christophe Ingrain, l’un des avocats de l’ex-chef de l’Etat, s’est avancé officiellement à la barreau au réception de l’estime, trempé de la force du époque. Il a publication qu’il y a un peu alors d’un salaire, il a permis, via la courrier Proton, un murette chiffré qui contenait « des informations foncièrement importantes ». Bien sûr, ce n’est pas la primaire coup, « toutefois pile la primaire coup, on peut approvisionner un composant utilitaire », a posé l’médiateur. Le voisin secret y prétend que « la illustre état de Mediapart est un truqué », la état de 2006 de Moussa Koussa, le génie de la sûreté civile libyenne, qui donnait son feu acide à un subvention à mensuration de 50 millions d’euros de la plantation de Nicolas Sarkozy, et qui a amène la arrivée à son excommunication.

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