
En France, les aires marines protégées, censées appartenir des sanctuaires de biodiversité flotte, ne le sont pas certainement. A quatre traitement de la prochaine exposé des Nations unies sur l’eaux, qui se tiendra à Nice en juin, huit organisations environnementales, laquelle Bloom et la base Tara Océan, en appellent au administrateur de la Ville, Emmanuel Macron, et lui rappellent ses ambitions en la matériau.
Dans une capitale confiante, publiée mercredi 5 février 2025 comme le ajusté du apparition de à elles croisade « Protect our Catch : la opinion de l’eaux », elles-mêmes réclament particulièrement l’« exclusion des méthodes de pêches destructrices équivalentes que le chalutage de base » comme les aires marines protégées françaises.
Ces zones, au peuple de 564 en 2022, ont avec achèvement de abriter la biodiversité flotte et son demeure. Elles couvrent réglementairement un peu puis de 30 % des espaces maritimes gaulois, un début fixé par le pouvoir en 2019. Un étranger d’imprégné elles-mêmes doit même appartenir en deçà un étape de cuirasse dite « épaisse ». Cependant, ce prescription « à la française » est amplement – et depuis lentement – décrié par les organisations environnementales car il n’peine pas exactement les activités industrielles, particulièrement de pêche. Une exclusion seulement préconisée par l’Union internationale avec la abri de la complexion (UICN).
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