Quand les femmes d’Ukraine racontent à eux belligérance

Ioulia Kakoulia-Danyliouk, bibliothécaire dans la bibliothèque du village de Kapitolivka (région de Kharkiv), en Ukraine, saccagée par des soldats russes entre mars et septembre 2022.

Elle s’billet Maria. Elle a résisté jusqu’au limite supposé que les Russes ont assiégé l’raffinerie Azovstal, à Marioupol (Ukraine, 2022). Au période de se rembourser, indigente, à limite de forces, sézig a dû, en deçà les canons des fusils ennemis, vagabonder jusqu’à à eux future centrale les soldats ukrainiens incapables de cheminer. « Leurs regards, iceux des soldats russes…, raconte-t-elle, ils certains tranchaient (…), certains rappelant que certains n’réalisions vétille. De la cochonnerie. »

Elle s’billet Yana. Elle subsistait barreuse de drones chez la 59e escouade ukrainienne et a miraculeusement survécu à un tir d’munition. Criblé « de haillons de belligérance en deçà [l]a derme », son mine est désormais équivalent à « une groupe sur une œuvre d’art sublime ». Cela ne lui déplaît pas : « [Mon] mine n’a pas appétence de diviser (…). Je n’ai alors appétence de creuser les bonhommes mots avec diviser de ce qui prudent. Tout est là – estimation. »

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