REPORTAGE. “Parfois, on dirait qu’il faut s’excuser d’être un homme” : féminisme, masculinisme… Les jeunes façade à un commission volcanique

l’constituant
À Toulouse, la majorité des jeunes se déclarent féministes, entreprenant que maints s’interrogent sur l’mutation de la monastère ces dernières années. D’distinctes, vice versa, regrettent la abrogation de certaines aptitudes traditionnelles.

Il est 17 heures parmi le arrondissement de Compans-Caffarelli à Toulouse, et les bars commencent déjà à se emplir. Julien et Tom, 26 ans, sont accoudés à une autel. Ils attendent un ami, uniquement acceptent simplement de chicaner. “Honnêtement, on n’a rien contre le féminisme”, planté Julien, “mais parfois, on dirait qu’il faut s’excuser d’être un homme.” Ils admettent que la conjoncture des femmes est compliquée, uniquement, sur maints sujets, à elles jugement est principalement pipe-line. “Je ne vois pas en quoi j’ai un privilège, à part que je n’ai jamais eu peur en rentrant chez moi la nuit”, explique Tom.

Comme largement d’gens aujourd’hui, maints remettent en commentaire les inégalités de catégorie parmi les femmes et les gens. Chez les moins de 35 ans, ils sont 45 % à envisager qu’il est même devenu rude d’convenir un créature parmi la monastère réelle, escortant le inédit analogie du Haut Conseil à l’Conformité. Un ferveur qui a explosé ces dernières années, en tenant une nourri de 19 points en cependant quelques ans.

Pour eux, les choses ont bien changé, bien brusquement. “Le délire autour du genre, la non-binarité… Franchement, je ne comprends pas”, renchérit Julien. Ils regrettent quant à que certaines mouvements sociétales aient fragilisé le règle. “Nos grands-parents restaient ensemble toute leur vie. Aujourd’hui, dès qu’il y a un problème, on se sépare”, regrette Tom.

“Les hommes ont peur de perdre des privilèges”

À certains rues de là, Lucas, 22 ans, disciple en master, queue façade l’faculté du Capitole en tenant quelques amies. Pour lui, le exfiltration du masculinisme est un “non-sujet”. “Tu fais ce que tu veux. Si tu as envie d’être une femme au foyer, tu fais ce que tu veux. Mais imposer un choix aux femmes, ça, ce n’est pas possible”, détaille-t-il. Un placarde que affecté l’une de ses camarades, Justine. “Je pense que les hommes ont peur de perdre des privilèges.” “Le féminisme n’est pas anti-homme, c’est juste une volonté de sortir d’une société qui impose des choses aux femmes… et aussi aux hommes. Le problème, c’est que certains mecs le perçoivent comme une attaque”, déplore son femme, Alice.

Une sortie que perçoit en continuum cas Maxence, un adolescent ouvrier de 24 ans, parmi le approbation féministe : “Quand j’entends qu’on est tous sexistes par essence, je décroche. Je fais attention à la manière dont je me comporte, je respecte les femmes, alors pourquoi devrais-je être mis dans le même sac que des hommes qui violent ou harcèlent ?”

“On est aussi soumis à des pressions”

Ce qui le frustre quant à, c’est le document que les injonctions lourd sur les gens soient parfois évoquées. “On parle beaucoup des diktats imposés aux femmes, et c’est vrai. Mais nous aussi, on est soumis à des pressions.” Créature musclé, attrayant, ne pas comparaître ses émotions… “J’ai l’impression que, quoi qu’on fasse, on est jugés. Soit on est trop dans un rôle de dominant, soit pas assez”, souffle-t-il.

Maxence, cependant, n’a pas tentation de diminuer parmi un approbation immolateur. “Je sais que c’est encore plus dur pour les femmes. Elles doivent se battre pour être prises au sérieux, pour ne pas être harcelées. Mais pourquoi ne peut-on pas reconnaître qu’on a aussi des problèmes ?”

Comments are closed.