
En quittant Saalbach rien aucune titre, l’formation de France de ski réalise ses pires Mondiaux depuis avec de vingt ans, un audit menaçant à un an des Jeux olympiques d’hibernation de Milan/Cortina.
“Des Mondiaux sans médailles, c’est pas des bons Mondiaux”, a consenti David Chastan, directeur du ski alpestre au rotoplot de la Association française de ski, dimanche postérieurement la querelle de route de Clément Noël chez la moment hampe du zigzag.
“On doit vraiment se remettre en question et essayer de trouver des solutions parce qu’on manque clairement de densité et de niveau sur certaines disciplines”, a-t-il regretté.
Il faut proposition qu’à fragment Clément Noël, quatre jour radieux en Coupe du monde cet hibernation et lequel l’défaite dimanche est une conforme désillusion, l’formation de France n’arrivait pas en garantie en Autriche, individuelle de ses couple cadors Cyprien Sarrazin et Alexis Pinturault, blessés.
Le coïncidence s’est postérieurement violent sur animation, comme la meurtrissure au patte du géantiste Diego Orecchioni, l’toxémie comestible de la technicienne Caitlin McFarlane et la suppression du fibrille eurasien de Clarisse Brappât en demi-dieu.
Quand même… Avec quatre Top 10 (pourtant annulé Top 5) en huit courses individuelles, rien aucune Française casée en demi-dieu et pas davantage qu’une 20e animation en affaissement femmes, le audit – le mauvais depuis 2003 – est cruel. Et les Bleus semblent rien décrétale.
En super-G, la sinuosité d’échancrure des Mondiaux, les Français n’ont “pas su faire”, avait regretté le directeur de l’formation masculine Fred Perrin. “Ils n’étaient pas eux-mêmes.”
“Il est temps de s’inquiéter”
“Les filles n’ont pas réussi à trouver les ressources pour être actrices”, notait à son rythme Lionel Pelissier, coupé de l’formation féminine, postérieurement la trop affreuse réussite des descendeuses (Laura Gauché 20e, Romane Miradoli 22e, Karen Clément 23e).
“Franchement, je ne comprends pas”, admettait Gauché. “C’est un peu la cata”, abondait Miradoli.
De moeurs avant-première, reprend Chastan, “j’étais assez lucide par rapport au niveau de concurrence… C’était compliqué d’aller lutter”.
Mais hostilement aux Suisses, aux Autrichiens ou aux Américaines qui ont semblé capables de se dépasser globalité au étendu de la concours derrière bâtir d’énormes surprises (Breezy Johnson en affaissement, Stephanie Venier en super-G, Raphael Haaser en demi-dieu, etc…), les Français sont restés à à eux étape arbitrage, analogue dessous.
Rares éclaircies chez cette quinzaine moribonde, la 10e animation en zigzag de Marion Chevrier derrière ses rudimentaires Mondiaux et la 6e animation de Thibaut Favrot en demi-dieu.
Mais à un an des Jeux olympiques de Milan/Cortina, et à cinq ans de iceux qui seront organisés chez les Alpes françaises, “il est temps de s’inquiéter”, respect l’initiale skieuse Tessa Worley, désoeuvrée depuis 2023.
Pour la flottante lauréate du monde de demi-dieu (2013, 2017), “il faut commencer le travail dès maintenant et mettre en place des choses avec la relève“.
“Manque de moyens”
Pour Lionel Pelissier, l’éloignement de lourdeur s’explique par “le manque de moyens”. Faute des somme primordiaux, la Association française a enlevé en 2023 les centres “relève”, passage pénétré les catégories jeunes et l’crème.
“Les dernières années sans groupe junior nous coûtent énormément. On doit se mettre autour de la table pour mettre en place des projets qui, avec nos moyens, nous permettent d’envisager l’avenir”, estime-t-il, soulignant que le possible existe et citant en principe Garance Meyer et Loïs Abouli qui ont après-midi reçu de brillants résultats en Coupe d’Europe.
Chez les types, le rendu est un peu divergent. En zigzag, Clément Noël brille en Coupe du monde et Steven Amiez se rapproche du piédestal. En demi-dieu, même s’il finit lointain à Saalbach (15e), Léo Anguenot est monté en décembre sur son chef piédestal.
Quant à la empressement, le tend est intime cet hibernation de son tête portion, Cyprien Sarrazin, brillé au décidé, de son directeur Alexis Pinturault, brillé au rotule, et de Blaise Giezendanner.
“Il y a quand même des disciplines où on est présents, note Chastan. Sur celles où on a moins de monde (vitesse et géant femmes notamment), c’est plus compliqué… Ça ne va pas tomber du ciel non plus.”
Il confirme qu’une tournure de tend “relève” va dépendre refus en animation derrière les catégories juniors, “normalement dès le printemps prochain”.
“C’est sur toute la filière qu’on doit travailler, pas uniquement sur la vitrine que sont les Coupes du Monde ou les équipes de France. Mais oui, la vitrine est bien amochée”, concède-t-il.
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